De l’autre côté de la clôture


J’avais l’air préoccupé j’étais dans ma bulbe

Je suivais mon instinct, un pressé  solitaire

Entre un chant, une prière et, une nouvelle

Je vendais mon temps juste pour me nourrir

Je ne pensais pas à hier ni non plus à demain

Toute une routine pour un esprit à ma liberté

Un nomade échappé urbain qui apostrophant

Dégagé de responsabilité du futur au demain

 

Mes joies contagieuses et les intérêts futiles

Les levés de soleil fréquents agréables, seul

Pour parader à travers les rues des regards

À chaque coin une indifférence à mes choix

 

Hermann Cebert

 

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