Page d'accueil, Poésie et Société J’aime New-York, et J’aime les New-Yorkais Publié par Hermann H Cebert le 4 décembre 2014 Il y a treize ans , j’ai pleuré avec toi tes tours jumelles, et tes enfants Oussama, alqaeda espéraient te mettre à genoux mais, ne penchant Ni pour broncher ou éternuer, tu as retroussé tes manches, devant!!! Avec courage, force et détermination tu rebondis plus fort, plus haut Ô ma ville, toi ville et État, J’aime New-York, et J’aime les New-Yorkais Ton magnétisme m’attire, tes grattes-ciel tes rues panneaux éclairés font partie de ton charme et de ta grandeur, ta liberté fait ta différence Quelle est majestueuse cette femme qui partage sa liberté à qui veut ! Bientôt je viendrai escalader cette statue pour en cueillir des branches Que je tâcherai de multiplier pour les partager aux autres ma belle Haïti New-York où vit et se développe la langue des rappeurs, la belle créole toutes les autres s’y parlent et tous se cohabitent, tu es la cosmopolite on souligne ton excentisme, ton rythme et tes cadences, ville des idées Tout passe et certain n’y reviennent, c’est toi qui dicte la mode et le ton Ô ma ville, toi ville et État, J’aime New-York, et J’aime les New-Yorkais!!! Los-Angeles, Atlanta ont été sous les feux, la rage et la colère embrasaient Car l’injustice, le mépris le racisme et le suprémacisme ont été les étincelles Aujourd’hui Saint-louis, Fergusson et Cleveland se révèlent des identiques Mais toi,Ô New-York, Quelle leçon de pacifisme pour contrer la dérive raciale Ô toi ma ville, toi ville et État, J’aime New-York, et J’aime les New-Yorkais Hermann Cebert Partager :TweetImprimerWhatsAppE-mailPartager sur TumblrWordPress:J’aime chargement… Articles similaires