Il y a treize ans , j’ai pleuré avec toi tes tours jumelles, et tes enfants
Oussama, alqaeda espéraient te mettre à genoux mais, ne penchant
Ni pour broncher ou éternuer, tu as retroussé tes manches, devant!!!
Avec courage, force et détermination tu rebondis plus fort, plus haut
Ô ma ville, toi ville et État, J’aime New-York, et J’aime les New-Yorkais
Ton magnétisme m’attire, tes grattes-ciel tes rues panneaux éclairés
font partie de ton charme et de ta grandeur, ta liberté fait ta différence
Quelle est majestueuse cette femme qui partage sa liberté à qui veut !
Bientôt je viendrai escalader cette statue pour en cueillir des branches
Que je tâcherai de multiplier pour les partager aux autres ma belle Haïti
New-York où vit et se développe la langue des rappeurs, la belle créole
toutes les autres s’y parlent et tous se cohabitent, tu es la cosmopolite
on souligne ton excentisme, ton rythme et tes cadences, ville des idées
Tout passe et certain n’y reviennent, c’est toi qui dicte la mode et le ton
Ô ma ville, toi ville et État, J’aime New-York, et J’aime les New-Yorkais!!!
Los-Angeles, Atlanta ont été sous les feux, la rage et la colère embrasaient
Car l’injustice, le mépris le racisme et le suprémacisme ont été les étincelles
Aujourd’hui Saint-louis, Fergusson et Cleveland se révèlent des identiques
Mais toi,Ô New-York, Quelle leçon de pacifisme pour contrer la dérive raciale
Ô toi ma ville, toi ville et État, J’aime New-York, et J’aime les New-Yorkais
Hermann Cebert
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