Nous étions tous, et chacun de nous, choqués de la sauvagerie et de la violence avec lesquelles des individus mercenaires payés, par qui on ne sait toujours pas, ont mis à mort le Président Jovenel Moïse. De l’intérieur du pays et à l’extérieur du pays, nous étions unanimes à condamner ces actes barbares et inhumains….
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