Tandis des bourgeois haïtiens, membres et agents de la CIA parmi ceux qui avaient commandité l’assassinat du dernier président élu de Haïti et qui ont aussi créé et armé plusieurs gangs criminels qui sèment la terreur un peu partout dans le pays avec des centaines de kidnappings à répétition continuent de vivre comme bon leur semble.
C’est la Chine qui semble comprendre actuellement que les vrais responsables du climat de violence qui règne en Haïti ce sont les administrations américaines car ce sont eux, dans l’intention de s’approprier des riches minières du pays, qui crée toutes les dérives dans lesquelles Haïti est en train de s’enfoncer.
Ils ont enquêté sur l’assassinat du président Jovenel Moïse et ils ont trouvé que c:est leur agent de la CIA membre de la bourgeoisie qui ont été les auteurs et commanditaires de cet assassinat mais ils refusent de divulguer et de dénoncer leur propre agent.
Avec les derniers kidnappings de quelques 15 missionnaires américains et canadiens par les mêmes gangs de la CIA en Haïti, nous devons comprendre la nouvelle Affaire Luders créée de toutes pièces pour envahir et occuper Haïti est donc en route.
Cependant, même si c’est leur projet contre notre pays et contre notre race noire, un jour ou l’autre ils vont finir encore par quitter ce pays parce nos sangs, nos sueurs et toutes les sortes d’humiliations que nous avions subis avec l’esclavagisme occidental et l’isolement qu’ils nous ont toujours imposés font de nous tous les haïtiens des êtres exceptionnels.
(Nations unies) Les États-Unis et la Chine se livrent à un bras de fer sur Haïti au Conseil de sécurité de l’ONU, mettant en péril l’engagement de l’Organisation dans ce pays en crise et l’avenir de sa mission politique qui vient à expiration vendredi soir.
Voici comment les étrangers analysent et interprètent la véritable position de la Chine Vs les États-Unis à l’ONU:
PHILIPPE RATERAGENCE FRANCE-PRESSE
Haïti est depuis longtemps géré au Conseil de sécurité par les États-Unis. C’est une ex-ambassadrice américaine, Helen La Lime, qui est émissaire de l’ONU en Haïti. Dans le cadre de la prolongation annuelle de la mission politique que dirige Mme La Lime (BINUH), le Conseil de sécurité avait planifié l’adoption d’une résolution jeudi matin. En vain. Les négociations des États-Unis (qui se sont adjoint depuis peu le concours du Mexique pour la gestion du dossier haïtien) avec la Chine ne se sont pas déroulées comme prévu. « Si demain les Chinois pouvaient fermer le bureau des Nations unies, ils le feraient », commente un diplomate sous couvert d’anonymat. Pékin est le deuxième contributeur financier à l’ONU et se comporte aujourd’hui comme les Américains sous l’administration Trump, ajoute-t-il.
Une dépense en pure perte, dit la Chine
Dans les négociations récentes, les Chinois, sans dire qu’ils étaient « contre » la mission onusienne, se sont montrés très critiques. « L’ONU n’a rien fait, tout ce qu’on a investi était à perte » pour ce pays, ont-ils ainsi fait valoir, rapporte une source diplomatique. Ils disent “on a perdu notre argent en Haïti, il faut que cela s’arrête. Le gouvernement ne nous écoute pas, arrêtons de l’aider” ». Une source diplomatique expliquant la position chinoise sur Haïti Cette position est cependant à l’opposé de celle des Occidentaux qui estiment qu’il « faut continuer à dire » au gouvernement haïtien ce qu’il doit faire pour avoir « une chance qu’il le fasse », selon la source diplomatique. Aucun commentaire n’a pu être obtenu auprès de la mission chinoise à l’ONU.
Haïti a reconnu Taïwan, Pékin furieux
L’autre raison jamais invoquée par la Chine lors des discussions onusiennes, ont indiqué à l’AFP plusieurs sources, c’est la reconnaissance par Haïti de Taïwan à la fureur de Pékin. En juin déjà, la Chine avait sèchement rejeté un projet de déclaration du Conseil de sécurité sur Haïti proposé par les États-Unis. Le texte se bornait pourtant à déplorer « la détérioration de la situation politique, sécuritaire et humanitaire » dans ce pays. Jeudi, Washington a officialisé un projet de texte de résolution, obtenu par l’AFP, à soumettre à un vote vendredi du Conseil de sécurité et prévoyant une reconduction du mandat de la mission pour un an, « jusqu’au 15 octobre 2022 ». Alors que Pékin avait réclamé ces derniers jours une reconduction uniquement pour six mois, afin, selon des diplomates, de mettre la pression sur Haïti.
Ce pays en crise politique, économique, sociale et sécuritaire profonde, sans président depuis l’assassinat en juillet de Jovenel Moïse, ne prévoit plus des élections que pour, au mieux, le deuxième semestre 2022. Affront supplémentaire à Washington, déjà affaibli depuis la récente démission spectaculaire de son émissaire pour Haïti pour dénoncer la politique de l’administration de Joe Biden, la Chine a aussi officialisé jeudi son propre projet de texte, prévoyant une extension « jusqu’au 15 avril 2022 », selon le texte obtenu par l’AFP. Avec ce choix extrême, Pékin montre être prêt à mettre son veto vendredi sur le texte américain et à soumettre le sien ensuite au vote du Conseil de sécurité.
Perdre la face
Pour que personne ne perde la face, une solution pourrait être trouvée sans voter sur les deux textes concurrents mais en en adoptant un troisième prévoyant un prolongement technique sur quelques semaines ou mois du mandat de la mission politique en Haïti. C’est ce qui s’était passé en septembre pour la mission politique de l’ONU déployée en Libye. En charge du dossier, le Royaume-Uni avait longuement peiné face à la Russie, pour qu’au final aucun des deux textes proposés par ces deux pays ne soit mis au vote. Après une réunion de dernière minute du « P5 » — les cinq membres permanents du Conseil : États-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni et France — pour dénouer l’affaire, le Conseil de sécurité avait approuvé à l’unanimité un prolongement technique de la mission pour seulement quatre mois.