Quels sorts qui sont déjà réservés aux gangs de Jovenel Moïse qui assassinent les masses populaires en Haïti (l’article que je ne publierai pas mais pour l’histoire et l’éducation je le laisse tel quel)


S’il y a une chose que tous les assassins criminels savent au moment de commettre leurs actes criminels c’est qu’ils augmentent cent fois plus leurs chances de mourir avant le reste de la population qui les entourent. Dans les pays de droits et qui respectent la vie, c’est cent pour de chances qu’ils ont de finir leurs jours dans une prison.

Par contre dans des pays comme Haïti c’est cent pour cent de chances de mourir violemment , par les services de police, par les services de l’armée ou par la population locale elle-même lorsque les choses finissent par changer de direction. J’ai connu les années du départ de Jean-Claude Duvalier et le premier départ pour l’exil de Jean-Bertrand Aristide, je peux vous dire avec sincérité tous ceux qui faisaient des excès de pouvoirs avaient péri atrocement et je préfère ne pas donner des détails dans le cadre de ce texte.

En fait, pourquoi les assassins finissent tous par mourir ou périr ou encore se faire assassiner ou vilipender sur place publique ou bien se trainer dans les rues comme des carcasses que les charognards veulent déchiqueter, c’est que aucun assassin ne peut tuer tout le monde et moins encore, il ne dispose jamais assez de temps pour tout détruire. De plus, les assassins ne connaissent jamais celui ou ceux qui vont les assassiner à leurs tours. par conséquent, ils sont toujours très vulnérables peu importe le modèle de sécurité qu’il se donnent et peu importe ceux qui composent leurs tours de sécurité.

Autrement dit, les assassins criminels des groupes de gangs qui actuellement, sous les ordres du président Jovenel Moïse, d’un ministre, d’un premier ministre ou d’un homme d’affaires, ou d’une ambassade étrangère accréditée dans le pays, qui participent dans l’assassinat de journaliste, d’avocats, d’étudiants, de mères, de pères de familles voire des enfants et de la population en général se doivent de savoir qu’un jour ou l’autre on va les assassiner en Haïti et ils n’auront même pas la protection de ceux-là qui les donnent des ordres actuellement.

Les jours de tous les assassins du peuple haïtiens sont comptés et les seules données qui manquent au peuple haïtien, c’est qui les autres criminels qui vont les abattent et quand est-ce que cela va se produire. Ils seront trahis, vendus par les membres de leurs propres groupes de gangs, ils seront victimes de jalousie, de complots et tout cela c’est une certitude absolue.

Hermann Cebert