Comment reconnaître les faux racistes et les faux accusateurs de racisme au Québec texte écrit par Hermann Cebert


Je veux commencer ce texte avec quelques clichés sur certains codes sensibles des québécois dont, certains québécois eux-mêmes et certains immigrants interprètent bien souvent comme des cas de racismes. Ces quelques clichés qui s’inscrivent dans des registres sociaux et culturels du peuple québécois ont tendance à se transformer en des cas de racismes ou de dénonciations de racismes. En ce qui concerne le sujet traité et les mises en scènes avec les jurons québécois, je suppose que certains québécois peuvent se sentir froisser du fait que je décide de les mettre à nu sur la place publique, cependant ils doivent également comprendre, que j’ai décidé d’écrire ce texte pendant qu’ils ont le dos tourné pour pouvoir manger la laine sur leurs dos et par le fait même qu’ils ont également les deux pieds sur la cheminée.

Je veux commencer ce texte avec quelques clichés sur certains codes sensibles des québécois dont, certains québécois eux-mêmes et certains immigrants interprètent bien souvent comme des cas de racismes. Ces quelques clichés qui s’inscrivent dans des registres sociaux et culturels du peuple québécois ont tendance à se transformer en des cas de racismes ou de dénonciations de racismes. En ce qui concerne le sujet traité et les mises en scènes avec les jurons québécois, je suppose que certains québécois peuvent se sentir froisser du fait que je décide de les mettre à nu sur la place publique, cependant ils doivent également comprendre, que j’ai décidé d’écrire ce texte pendant qu’ils ont le dos tourné pour pouvoir manger la laine sur leurs dos et par le fait même qu’ils ont également les deux pieds sur la cheminée. Bien entendu, les québécois eux-mêmes utilisent ces clichés pour affirmer leurs faux racismes de même, beaucoup d’immigrants se basent sur ces problèmes de conflits sociaux et culturels pour affirmer que les québécois sont fondamentalement racistes ou bien pour faire de fausses accusations de racismes. Les incompréhensions sont de tous les côtés et de tous les bords.

Évidemment, c’est une argumentation que les intellectuels québécois auraient dû eux-mêmes développer avant moi, cependant, la peur de se faire taxer de racistes les a sans nul doute empêché de prendre un tel risque. Surtout, lorsque ce sont les médias traditionnels qui profitent de ces confusions pour vendre leurs salades de publicités et donc, les possibilités d’avoir une couverture de journal avec de tels dénonciations sont quasiment nulles. Pourtant, il est plus qu’important à l’heure actuelle de dénoncer de tous côtés et de tous bords ces faux racistes et ces faux accusateurs de racismes au Québec puisque les vraies extrêmes droites et les vraies extrêmes gauches n’hésiteront jamais à les récupérer compte tenu de certaines caractéristiques propres à ces faux racistes et à ces faux accusateurs de racismes: instabilité, le danger permanent, très peu confiants en eux, égoïstes, envieux, se victimiser etc… .

D’ailleurs, plusieurs accusent faussement déjà ces faux racistes d’appartenance à l’extrême droite alors que ces gens sont de simples nationalistes inquiets, surtout mal informés et désinformés pour plusieurs également de la nouvelle réalité économique et sociale du Québec. De plus, avec la pandémie et les attaques que ces gens subissent contre leurs croyances et leurs idéologies, ils ont tendance à se radicaliser davantage et de telle sorte qu’ils risquent de s’accrocher à certains Partis de l’extrême droite. Histoire à suivre. Il en est de même pour les faux accusateurs de racismes qui eux aussi, sont déjà récupérés par l’extrême gauche radicale. Aller les observer dans les manifestations vous constaterez que ce sont les leaders traditionnels de l’extrême gauche gauchisante qui prennent beaucoup plus souvent la parole et les solutions qu’ils proposent sont déjà connus de tous. Plus d’ouverture de la société d’accueil alors que des deux côtés chacun tient à rester sur ses positions, son orthodoxie. Pourtant on devrait comprendre sans considération de part et d’autre bien entendu s’il n’y a pas reconnaissance des apports de chacun il ne peut pas y avoir de vivre ensemble. Il faut céder pour recevoir et il faut recevoir pour céder. Très peu comprennent cette dialectique du donnant donnant.

Par ailleurs, la plupart des faux racistes québécois se croient menacer par des étrangers parce que certains politiciens, certains journalistes et animateurs de radios et de télévisions sans scrupules les ont fait peur d’être remplacés selon une sorte de théorie de grand remplacement par les Arabes, par les Noirs, par les Latinos et par les Asiatiques, plus particulièrement, par les islamistes en général comme si, ces derniers pouvaient venir implanter en Occident leur Grand Kalifa. Évidemment on oublie depuis très longtemps déjà et, que l’on se doit de se rappeler qu’il y a eu certains grands remplacements dans l’histoire de l’humanité mais qui avaient été opérés par les occidentaux. D’ailleurs qu’ils semblent continuer aujourd’hui encore. On se souvient des premières nations amérindiennes d’Haïti qui avaient été exterminés par les espagnoles, les autochtones d’Australie et de l’Amérique du Nord. Ça c’était du grand remplacement et c’est aussi ça qui a servi à enrichir les occidentaux.

L’Islam ne me semble pas avoir de projets de Grand Kalifa mondial selon mes propres recherches. D’ailleurs, je doute très fort que des vrais musulmans soient en arrière de tous les attentats qui se commettent au Nom de l’Islam et par des soi-disant musulmans ou islamistes. L’Islam et les musulmans me semblent être beaucoup plus à des victimes de ces crimes haineux commis en leurs noms et surtout, par d’autres groupes aussi bien religieux qu’eux mais avec des intérêts complexes qui les manipulent à distance. Je reviendrai un jour sur cette question, pour l’instant c’est mon constat et c’est une simple parenthèse. Bien entendu, je n’ignore pas certains extrémistes islamiques qui ont des projets personnels et qui propagent une certaine haine au niveau mondial avec le projet de Kalifa. Tout comme, je n’ignore pas les propos de certains Rabbins juifs qui ne se cachent pas pour annoncer leur royaume messianique (annoncée selon eux depuis deux milles ans ou plus) au niveau mondial surtout lorsqu’ils disent que tout ce qui se fait présentement contribue à l’avènement de ce royaume alors même qu’ils considèrent l’islam comme leur balai. L’extrémisme est partout.

Selon un certain courant, les faux racistes se croient en train de perdre leurs identités francophones à Montréal parce que personne ne leur explique ce qui se produit lorsque des cohortes de francophones quittent la grande région de Montréal pour aller s’installer dans les autres régions et de la banlieue du Québec. Ils ne savent pas que c’est le nombre de francophones qui diminue tandis que les nouveaux immigrants qui décident de rester s’installer dans la grande région de Montréal dont le nombre d’habitants augmente mais ça prend plus de temps avant que ces nouveaux arrivants s’expriment complètement en français. Et en conclusion, il y a à terme plus de nouveaux francophones au Québec qu’il en manque véritablement. Ça c’est trop complexe à expliquer?

Un autre point non moins important, ce sont actuellement les effets de la covid-19 sur la santé psychologique et morale des gens. Bien entendu, aux côtés des autres problèmes que cette pandémie occasionne chez les québécois, c’est l’acharnement impitoyable contre les refuges et les échappatoires psychologiques des québécois. Il y a désormais des journalistes spécialisés dans le décodage et dans la vérification des informations vraies ou fausses ce, pour protéger les citoyens, les esprits faibles soit dit en passant. Par conséquent, il ne peuvent établir aucun lien entre une croyance échappatoire et une vraie croyance. Ce sont des experts disent-ils. Et en ce sens, on oublie que les québécois ne sont plus de vrais croyants et donc, qu’ils n’ont aucune institution qui s’occupe de leurs besoins spirituels et psychologico-social. Et donc, en cherchant à s’adhérer à des mouvements complotistes comme le Q-Anon c’est beaucoup plus leurs besoins spirituels qu’ils expriment au lieu d’une certaine appartenance à une ou des idéologies racistes comme les médias tendent à les associer à l’extrême droite raciste. On veut dénoncer les complotistes mais on oublie que se faisant on joue le jeu de l’autre qui se cache en arrière, ceux qui profitent de ces dénonciations. C’est la grande confusion.

Par ailleurs, on oublie tout aussi bien que la taverne, les bars, les Bingo, le Gym, les Jeux de Société en salles et en plein air, les centres sportifs, le bénévolat, les soirées de souper spaghetti et tant d’autres encore représentent de nos jours, la vieille paroisse ou la vieille Église catholique romaine qui offrait le produit spirituel or, avec le Covid-19, tous ces endroits sont fermés actuellement. On a qu’à aller voir sur les réseaux sociaux pour visiter les pages que les québécois visitent et où ils ne se gênent pas pour donner leurs opinions ou vider leurs états d’âme pour se rendre compte que ça grogne pas mal. Ils sont déjà tannés de toujours rester à la maison ou de ne pas pouvoir opérer leurs petites entreprises. Je me souviens d’un homme d’affaire québécois, dans une entrevue avec Éric Duhaime, qui a tout investi pour lancer son entreprise de centre sportif (gym) qui était complètement abattu par les mesures sanitaires contre le covid 19. L’homme crachait tout son désespoir parce que c’était toute sa retraite qu’il avait tout seul investi dans son entreprise. Ces gens je suis prêt à me battre pour eux parce qu’ils parlent avec leurs cœurs. À ce propos je leur donne raison de se plaindre et de cracher leurs colères car d’un côté, c’est bien meilleur de parler et de se fâcher que de devenir fou; d’un autre côté, ça pourrait encourager les dirigeants à prendre de meilleures décisions.

Ce qui signifie, les québécois et n’importe quel humain d’ailleurs n’est pas fait pour vivre cloitrer à la maison et de surcroit avec des masques et de toutes les restrictions que les gouvernements les imposent déjà. L’homme est un être social et il a besoin d’être en groupe avec les autres. Et, lorsqu’on lui enlève ou bien qu’on l’empêche d’être en groupe ou de se réunir. Il lui faut en trouver de nouveaux refuges et c’est en ligne que plusieurs arrivent à le trouver pour se mettre ensemble. Or, les québécois trouvent ces réseaux sociaux là, sans quitter leurs propres foyers en ligne. Ils se sentent connectés aux autres. N’est-ce pas merveilleux pour un monde de plus en plus matérialiste et extrêmement criminel et corrompu? Pourquoi on ne les laisse pas en paix pour passer cette grande crise où chacun est obligé de porter des masques, de rester chez soi à la maison, de limiter les déplacements pour les services et les besoins essentiels?

Par ailleurs, notre mise en scène et nos analyses à partir de nos constats ne signifient pas qu’il n’y a pas de québécois qui sont foncièrement racistes, cependant, selon ces mêmes constats il semble qu’il y en aurait beaucoup moins qu’on a tendance et l’habitude à le croire. Voire également, que ces derniers soient très peu nombreux dans la société québécoise bien qu’ils puissent se trouver dans des zones névralgiques de la société à tel point qu’ils soient vraiment en position de nuire profondément la société. C’est donc le regard ou l’interprétation des immigrants et des québécois que je mets en scène afin de dénoncer les faux racistes et les faux accusateurs de racisme au Québec. De ce fait, j’invite mes lecteurs à aller jusqu’au bout de cet article car juste après la mise en scène je procéderai à l’analyse qui me permet de reconnaitre les faux racistes au Québec et peut-être un peut partout en Occident puisque le racisme et le faux racisme sont partout presque pareils.

Cela étant dit, certains seront dérangés parce que je risque de sacrer en titi par les entremises de mes chaines de conversations car ce sont les conversations elles-mêmes qui sont les personnages. On ne m’accusera pas d’appropriations culturelles pour le parler québécois tout comme, on me fera aucune remarque concernant la dialectique qui sous-tend ces mêmes conversations. D’ailleurs, inutile de s’identifier à un personnage quelconque dans ces conversations puisque à n’importe quel moment le discours peut être associé à un québécois ou à un immigrant voire même d’un homme ou d’une femme. Tout va et tout vient.

Selon moi, il y a certaines personnes qui se croient racistes et d’autres également qui interprètent presque tout comme du racisme. Alors que dans la grande majorité des cas, ce que l’on semble accuser ou reconnaitre comme étant du racisme ne l’est pas vraiment. Bien entendu, mon intérêt n’est pas seulement de dénoncer les faux racistes ou les faux accusateurs de racisme, j’entends surtout pousser les réflexions un peu plus loin dans le but de savoir pourquoi les pauvres sont incapables de se solidariser contre des ennemis communs. En fait, ce que je veux faire ressortir, c’est l’inversion des forces antagoniques où ce sont ceux qui sont les plus forts qui subissent la violence des plus faibles. Ici je suis complètement dans une vision Nietzschéenne des rapports de force, à savoir que ceux qui dominent ce sont les faibles grâce à la culpabilisation et à l’enfermement des forts (que sont les pauvres mis ensembles) dans des cages de moral, de normes, de divisions du travail, de procédures, de méthodes, de règles, de principes, de cloisons sociaux, des conditions de vie et de la qualité de vie.

Pour y arriver, j’espère pouvoir me rendre à l’évidence hors de tout doute que le racisme en tant que système de division et de catégorisations sociales, économiques et politique sert à protéger les riches en poussant les pauvres à s’entredéchirer sur des critères raciaux pendant que les riches ( ce, qu’ils soient noirs, blancs, jaunes ou rouges, asiatiques, latinos ou autres) continuent d’exploiter de façon sans vergogne les faux racistes et les faux accusateurs de racisme.

Voyons voir.

Mise en scène:

Si je vous regarde tout droit et très profondément dans les yeux ce n’est pas pour vous dévisager ni non plus pour vous faire peur. Lorsque je vous vois et que je plonge mon regard sur vous c’est parce qu’il y a quelque chose qui se dégage de vous et qui m’attire irrésistiblement. Et cette attraction est telle qu’il m’arrive par moment d’oublier que ça fait déjà un bout depuis que je ne cesse de vous regarder.

De même lorsque je vous dis que vous êtes belle ce n’est pas parce que je m’intéresse à vous mais simplement pare que je vous trouve vraiment belle. Cessez donc de croire que je vous aime tout simplement parce que je vous dis que vous êtes belle. Pourquoi vous êtes incapable de comprendre que je ne vous courtise pas lorsque je vous dis que vous êtes belle.

De même, pourquoi vous pensez que si je décide de payer quelque chose pour vous, c’est comme si je cherche à vous acheter ou à vous rendre dépendant de moi. On dirait que c’est naturel chez vous de toujours vouloir tout partager, loyer, épicerie, restaurant et ce même lorsque je vous invite moi-même. Arrêtez d’avoir peur comme si vous étiez toujours sur la défensive.

On peut-tu simplement vivre sans toujours en train de penser quand est-ce que je vais poser un mauvais acte. La vie à deux ne peut-elle pas être plus agréable au lieu d’être toujours un terrain d’affirmation identitaire ou encore des droits de l’homme et de lutte féministe. Moi j’ai été grandi et élevé seulement par ma mère et elle m’a bien enseigné que je ne dois pas rendre ma femme dépendante de moi ni non plus lui rendre jalouse. De toute façon je ne suis pas né avant les années 1960. Il y a donc quelque chose que vous ne comprenez pas.

Évidemment, je le savais, vous n’aimez pas non plus lorsque je vous dis que vous ne comprenez pas. Ce n’est pas parce que je vous dis que vous ne comprenez pas que je vous prends pour un imbécile ou un con. En vous disant que vous ne comprenez pas je veux simplement dire qu’il y a, semble-t-il, quelque chose qui vous échappe dans ce que j’essaye de vous dire et de vous expliquer. Donc loin de voir que je vous rabaisse lorsque je vous dis que vous ne comprenez pas.

Bien entendu, malgré le fait que vous ne cessiez de dire que vous me comprenez, vous ne comprenez toujours pas ce que j’essaye de vous dire. Vous devez m’écouter parler jusqu’au bout pour pouvoir établir les liens que je veux que vous parveniez à établir. Si vous vous faites des phrases courtes et simples, cela ne veut pas dire que tout le monde est obligé d’être bousculé comme vous le faites continuellement avec moi. J’en ai marre de toujours entendre: aboutis, arrive arrive donc, résume donc! Je préfère parler à ma manière au lieu d’être interrompu par quelqu’un qui ne me demande que je dois toujours faire vite pour aboutir ou terminer mes explications.

Par ailleurs, je savais que vous alliez tenter de me mettre à ma place, vous interprétez mes constats comme si je me prenais pour quelqu’un d’autre. C’est-à-dire que je pète les bretelles, grosse corvette petite quéquette. Bien entendu, je le sais bien, vous préfériez que j’applique dans ma vie quotidienne la vieille formule que vous attribuez à des gens comme moi, sois beau et tais-toi. Malheureusement je ne suis pas seulement un corps physique je suis aussi une intelligence et très conscient de mes potentialités.

J’aime discuter, bien que je sache très bien combien vous n’aimez pas discuter puisque vous préférez vous soumettre ou donner raison au lieu de prendre position ou encore d’affirmer très clairement votre point de vue. On dirait que ça vous met mal à l’aise lorsque l’on vous contredit ou que l’on s’oppose à vous. D’abord vous confondez très souvent et même trop souvent discuter et disputer, parler fort et se fâcher, se plaindre et revendiquer.

En forçant les autres à baisser le ton de leurs voix vous les rendez agressifs parce qu’ils se sentent contrôler ou dominer. Vous pensez souvent que baisser la tête devant une autre personne c’est se soumettre. Loin de là, parfois c’est l’autre qui vous prend pour le faible parce qu’il peut se sentir gêner pour vous et non par pour lui-même. En fait vos normes et vos règles ne sont pas dans la tête de tous les autres. Vos codes ne concernent que vous seuls. Il ne faut pas prendre vos acquis ou ce que l’on vous a appris à l’école comme chose universelle. Il existe d’autres cultures et d’autres manières de faire et de se comporter.

En fait, vous ne fuyez pas vraiment. Lorsque vous faites tout pour éviter de défendre votre point dans une discussion, il vous arrive de haïr tout en cherchant à vous venger dans l’ombre en montant des combines afin de frapper l’autre dans le dos ou lorsqu’il ne s’attend plus à des réactions de votre part. Vous n’aimez pas voir le sang de votre ennemi ou du moins de votre interlocuteur, vous permutez votre violence physique par la violence psychologique. Vous faites tout pour affamer l’autre, pour l’assoiffer, lui priver de son sommeil parce que c’est ainsi que vous vous sentez moins coupable mais sachez le, on appelle tout cela de la violence passive et elle fait plus de mal que d’avoir saigné l’autre. Vous êtes subtilement violent et je dois les dénoncer l’un ou l’autre, c’est de la violence qu’il s’agit bel et bien.

Parlons du pardon, vous ne pardonnez pas vraiment même lorsque vous semblez faire la paix en tapant l’autre d’une petite tape d’amitié et de paix sur l’épaule. C’est beaucoup plus une feinte de votre part et, lorsque vous atteignez votre résolution de conflit ou bien que vous trouvez des compromis avec l’autre, vous ne pardonnez jamais car vous continuez de garder tout à l’intérieur. Et comme tous ceux qui préfèrent garder leurs colères à l’intérieur d’eux, vous complotez sans cesse pour vous venger parce que en vous la vengeance et la haine prennent des proportions énormes que plusieurs associent au racisme. Malheureusement, j’ai le regret de vous dire que ce n’est pas du racisme même si vous auriez souhaité l’être, vous ne l’êtes pas.

Non, vous n’êtes pas raciste, vous êtes haineux! Vous traduisez cette haine viscérale par une violence passive. Et vous causez plus de tort et plus de mal à l’autre qui pourtant croit souvent que vous avez vraiment fait la paix et que tout deviendrait comme auparavant. Mais vos gestes, vos méchancetés, vos agissements vous trahissent continuellement. Alors, je ne baisse pas les bras, je reste vigilant et je m’attends au pire de vous car vous êtes capable de faire mal profondément. Mais, toujours avec la grande peur de ne pas me saigner parce que vous avez peur de voir le sang de votre victime

Bien sûr, là aussi vous auriez aimé que je fasse quelques courbettes, mon hostie, d’tabarnak!, voire me rabaisser ou d’être beaucoup plus silencieux et d’éviter toutes les formes de discussions comme vous les évitez habituellement. Non cârlisse de marde, je ne suis ni docile ni soumis. Ça fait longtemps déjà que je ne cesse de regarder le soleil directement dans les yeux et il n’est pas parvenu à m’aveugler, c’est ma nature et c’est dans mes gênes de me comparer qu’à moi-même et à moi-même seul.

Enfin, vous finissez par le dire, si si, je sais très bien, pourquoi je ne retourne pas chez moi? Vous imaginez sans nul doute que je viens seulement ici pour vous voler votre job et c’est à cause de cela que vous ne cessez de me dire que je n’ai pas d’expérience de travail alors que nous savons tous que c’est en travaillant que l’on acquiert de l’expérience.

Analyse et explication

Après avoir suivi cette mise en scène il se pourrait que vous vous demandiez si je suis en colère contre quelqu’un eh bien non, c’est la meilleure façon que j’ai trouvé pour aborder un sujet très délicat qu’est le racisme, le faux racisme et les faux accusateurs de racisme au Québec. D’ailleurs, ça fait longtemps déjà que je voulais donner ma propre définition du mot «Racisme» étant donné les diverses dérives que l’on assiste un peu partout dans le monde. Pour y parvenir, j’ai consulté, j’ai lu et relu plusieurs textes et plusieurs auteurs. Malheureusement aucune définition trouvée et aucun auteur dit sérieux n’arrive à satisfaire ma grande curiosité. Voilà pourquoi, j’ai dû faire le parcours inverse en vue d’arriver à formuler ma propre définition du racisme en tenant compte de plusieurs paramètres et de plusieurs variables qui semblent se conjuguer pour mieux expliciter ce que l’on entend souvent par racisme dont certains groupes vivent dans leurs quotidiens et qui cause trop de dommage psychologiques dans le monde.

Évidemment, tout au long de mes recherches, j’ai pu constater qu’il y a beaucoup de dérives de part et d’autre. D’un côté il y a les faux racistes qui transforment certaines de leurs réalités en arguments de racisme et de l’autre, les faux accusateurs de racismes qui transforment n’importe quelle situation de conflits personnels en arguments de racisme. Certes il y a véritablement des cas de racismes un peu partout dans le monde, cependant, il y a beaucoup plus de cas d’abus dans la reconnaissance de ce qui est véritablement du racisme. C’est donc entre ces deux dérives que je vais tenter de jeter un pont ou plusieurs ponts en vue d’arriver à formuler ma propre définition du racisme ce, en faisant la lumière sur le racisme, sur les cas de racisme systémique dont plusieurs politiciens préfèrent ne pas reconnaître compte tenu qu’ils profitent largement pour asseoir leur capital et leurs clientèles politiques.

En ce sens, lorsque je considère plusieurs théories sur les différentes définitions que l’on associe au racisme, je constate qu’il y a plusieurs situations et plusieurs contextes qui sont associés à ces définitions comme si le racisme en tant que tel n’a jamais été analysé et dissocié de ces revêtements qu’on lui colle. Or, en libérant le racisme de tous les contextes et de toutes les situations, je suis parvenu à comprendre qu’il était en soi tout un système qui vise d’autres objectifs que ce pourquoi on l’emploie ou bien qu’on le dénonce habituellement. Autrement dit, en sortant le racisme de tous les déchets qui l’enveloppent ce, couches par couches, on peut découvrir que le système fondé sur la race est beaucoup plus un instrument de sécurité qui assure et qui protège les intérêts d’un groupe bien défini et de fait, il est manipulé par ceux pour qui il est une ceinture de protection et abusé par ceux qui se réfugient dans ses effets et ses impacts.

Prenons d’abord les faux racistes qui sont manipulés par les tenants et les bénéficiaires de la sécurité qu’offre le racisme mais, qui abusent des effets et des impacts du racisme dans leurs rapports sociaux. Ces faux racistes sont habituellement des personnes ordinaires, simples et très fragiles qui, en absence de vraies raisons pour être racistes, vont se réfugier derrière les apparences de sécurité que leur offre le racisme et surtout le fait d’être raciste cependant tout au fond de ces personnes, il n’y a aucun fondement pour qu’elles soient véritablement de vraies racistes. Il y a donc un besoin de s’affirmer supérieur par rapport à l’autre qui semble vouloir prendre toute la place.

D’ailleurs, habituellement, non seulement qu’elles sont vulnérables en ce qui concerne leurs conditions économiques et sociales, elles sont également fragiles parce qu’elles vacillent d’un extrême à l’autre sans aucune capacité d’aller en profondeur des idées et des arguments qu’on leur gave à tous les jours. Ce sont des gens qui changent continuellement de sujets et de cibles puisque tout les affecte et tout les dérange plus particulièrement lorsque les arguments qu’on les soumet sont de plus en plus complexes. Ce sont des gens qui ont très peu d’estime d’eux-mêmes puisqu’ils sont d’intelligences moyennes bien qu’ils puissent, dans certains cas se révéler assez intelligents bien que peu formés et considérés comme des échecs du système dominant qui les manipule. Bien entendu, puisque ces gens ont très peu d’estime d’eux-mêmes, ils se sentent en compétition avec les autres, plus particulièrement les étrangers qui par fragilité et l’inconnu du nouveau pays qui les accueille vont accepter n’importe quel boulot dans lesquels ces gens se retrouvent. Ce sont donc ces contextes qui seront responsables du développement de l’idée de racisme chez eux mais avec le temps qui vont disparaître puisque les nouveaux étrangers finiront par se reclasser dans le système ou bien qu’ils vont choisir d’autres secteurs plus spécialisés. Ce ne sont pas des transitions faciles pour ces étrangers puisque certains pourraient rester coincés dans ces conditions minimales d’existence. Les intentions demeureront toujours présents dans les esprits de ces nouveaux citoyens.

Évidemment, il faut reconnaitre que les conflits sociaux et économiques ne naitront pas seulement en milieux de travail et en ce sens, puisqu’il s’agit en quelque sorte des secteurs d’emplois qui ne réclament pas de très grandes études universitaires dont occupent habituellement les faux racistes et donc les citoyens qui ont échoué dans leur propre système, dit également quartiers pauvres. Or c’est la proximité qui se crée par les conditions économiques et sociales qui aura forcé les confrontations entre les nouveaux citoyens et les citoyens natifs. Les nouveaux citoyens issus de l’immigration vont affirmer leurs identités telles que religion, croyances, tenues vestimentaires, musiques, rituels, langues parlées, nourritures consommées, odeurs et parfums tous ensemble comme facteurs d’affirmations identitaires vont forcer les natifs à trouver de nouvelles raisons pour s’identifier et s’affirmer au même titre que l’autre. En fait la présence de l’autre nous oblige à nous affirmer pour pouvoir lui faire savoir que l’on existe aussi.

À ce propos, plusieurs sociologues expliquent clairement en présence de l’autre et de tous les autres nos besoins d’affirmation s’intensifient beaucoup plus que si l’on était toujours le même groupe à vivre depuis toujours ensemble. Il y a des besoins de s’identifier, de se différencier, de se distinguer à la limite. Il y a donc de la compétition. Et, à défaut de livrer cette compétition, il faut inventer de nouveaux critères et se donner de nouvelles raisons. Les peurs naissent également puisque l’on se sent vulnérable, surtout si l’autre croit en richesse, en biens et en nombre. Et comme dit le dicton, à défaut de téter sa propre mère, il faut téter sa grand maman. C’est le racisme. Bien entendu, un vrai faux racisme puisque jusques là on était simplement en compétition avec l’autre et l’on se croyait posséder tous les atouts pour mener une telle compétition.

*Notons toutefois, les confrontations identitaires sont moins fréquentes lorsque les groupes communautaires se retrouvent entre eux et donc subissent moins de racismes et surtout de faux racismes. Les confrontations concernent donc surtout les communautés qui sont plus éparpillées au sein de la société d’accueil. Évidemment lorsque les groupes sont tissés sérés au sein de leurs communautés respectives, ils ont tendance à être plus conservateurs et plus intransigeants car ils continuent de reproduire leurs propres cultures d’origine dans la société d’accueil, ils veulent tout conserver et rien faire comme compromis.

Prenons maintenant les faux accusateurs de racismes. En effet, les faux accusateurs de racisme qui eux aussi profitent des effets et des impacts de leurs accusations de racisme contre les personnes susceptibles d’être racistes qui bien souvent ne le sont pas vraiment. Pour bien reconnaitre les faux accusateurs de racisme, il faut penser à des gens qui laissent leurs pays pour aller s’installer dans un autre pays avec tous leurs bagages culturels et souvent également religieux. Ce sont des gens qui auraient ou qui ont été conservateurs chez eux. Très fermés aux autres. Ce sont des gens qui ne veulent pas renoncer à un iota de ce qu’ils ont comme culture ou et religions. Ils veulent imposer leurs religions, leurs croyances, leurs valeurs et leurs habitudes aux autres, je veux dire dans la société d’accueil. Habituellement ils procèdent par la provocation comme s’ils veulent toujours tester les limites des lois et des règlements. Ils vivent en ghetto communautaire et ne se mélangent pas souvent ou très peu avec la communauté qui les accueille. Pourtant ils exigent tout des autres comme s’ils étaient toujours les seuls victimes du monde. Ils font beaucoup de bruits pour un cric et pour un crac. Ils voient des problèmes partout surtout, des problèmes qui semblent restreindre leurs cultures, leurs valeurs religieuses. Bref, ils exigent tout et ils ne sont jamais prêts à faire des compromis. À ce propos, je me souviens d’une communauté qui avait obligé à Un YMCA de cacher les vitres par des rideaux afin de protéger leurs enfants qui voient des personnes qui faisaient des exercices de musculation de gym. C’était de la provocation.

Finalement, faisons maintenant ressortir le racisme en tant que système qui assure la protection de certains groupes qui ont vraiment intérêts à ce que le racisme se perpétue pour qu’ils soient continuellement protégés contre toutes les formes de contestations de la part de ceux qui auraient pu ou qui devaient contester leurs statuts ou s’opposer tout simplement à eux. Voyons voir. En effet, pour bien comprendre le racisme il faut remonter à quelques siècles en arrière sans vraiment faire son historicité ou sa genèse depuis la nuit des temps. De là étant, on peut se rappeler que le racisme est né de la rencontre des peuples où l’invention des armes à feu a donné un certain avantage aux uns et sur les autres. Or, de ces rencontres chacun pouvait voir et établir les différences entre les humains et qui ont pu faire croire à certain que ces différences pouvaient être considérées comme des signes de supériorités et d’infériorités. De telles sortes, que ce soient les formes d’organisations et les différences sociales et sociétales qui seraient les principales références de comparaisons d’un peuple avec une autre et d’une race par rapport à une autre race.

Cependant, en ce qui concerne les piliers et fondements du racisme moderne, celle qui continue d’exister aujourd’hui encore c’est une affaire des aventuriers, de ceux qui ont financé les grandes conquêtes coloniales et surtout, c’est l’affaire de tous ceux qui ont profité de ces conquêtes. Donc, les Rois, les reines, les chefs de guerres, les industriels, les grands planteurs bref, les fortunées et les groupes de personnes riches. Car, ce sont ces gens, ces groupes de gens qui pour exploiter et s’enrichir allaient inventer des différences sociales et économiques entre eux et les autres dans le but d’asservir les autres à leurs profits.

On peut très bien imaginer un groupe de gens qui par peur de mourir après avoir consommé toutes ses denrées de subsistance qui se retrouvent à être obligés de travailler pour quelqu’un d’autre parce que lui de son côté n’aurait pas tout consommé ses biens de subsistance. Or à cause de la peur de mourir l’homme allait accepter de se soumettre à la volonté de l’autre. Hegel l’explique très bien en montrant comment était né l’aliénation, par la peur de mourir. Un exemple criant a été le système colonial français dans l’Île d’Hispagnola où des français pauvres de France s’étaient engagés ou bien réduits en esclavage pour des durées de trois ans ou trente six mois. On les appelait les blancs Manant ou petits blancs ou encore le nom de leurs contrats, les engagés ou trente six mois. Certains diraient que ce furent des contrats de travail mais, lorsque l’on considère certaines limitations liées à leurs contrats, tout indique qu’ils s’agissait bel bien du même système esclavagiste que subissaient les Noirs arrivés de l’Afrique. Autrement dit, l’esclavage et, le racisme qui le soutenait, n’était pas une question de race mais tout simplement des affaires de classes sociales qui oblige les pauvres à se soumettre au système d’exploitation des groupes de riches. D’ailleurs, à Athènes et en Égypte voire à Rome et en Angleterre les systèmes de servitudes n’avaient rien à voir avec la race mais tout simplement avec les différences économiques et sociales.

La pauvreté et la faim avaient poussé les juifs à se laisser asservir par les égyptiens et l’histoire de Joseph vendu par ses frères à des marchands raconte très bien l’asservissement du peuple juif. Malheureusement, les embellissements de la bible et surtout certaines propagandes dont Hollywood se raffole nous présentent souvent le peuple Juif comme des éternels victimes voire l’unique victime de toute l’histoire de l’humanité. D’ailleurs, on oublie trop souvent même que les premiers habitants de Haïti, que furent les amérindiens avaient tous été décimés par les colons espagnols de Christophe Colomb.

De nos jours, rien a changé et les classes possédantes et dominantes exploitent les blancs, les asiatiques, les noirs, les arabes, les amérindiens de la même manière, il suffit que ces gens produisent ou bien soient exploités au profit des patronats et des actionnaires riches. Par contre, il faut qu’ils arrivent à maintenir les cloisons de races afin de maintenir leurs systèmes d’exploitation pour cela, le seul moyen encore disponible c’est de faire peur aux uns et aux autres en pointant du doigt les différences raciales comme responsables de toutes les crises sociales, économiques et politiques. C’est le cheval de bataille de tous les politiciens. Et d’ailleurs, ça marche à tous les coups car les gens sont plus enclins à voir son voisin comme responsable de son malheur au lieu que ce soit celui ou ceux-là qui les exploitent et qui volent et pillent leurs fonds de retraites. Les marchés boursiers sont là pour faire et assurer cette harmonie sociale et sociétale le fondement d’un certain vivre ensemble.

Par ailleurs, je me souviens lorsque je suis arrivé au Québec, sur les ondes d’une station de radio communautaire probablement catholique, les dimanches matins il y avait un Rabbin Juif qui avait pris les haïtiens pour cibles en essayant de trouver toutes les sortes d’argumentations pour expliquer comment les haïtiens et le pays Haïti selon son étymologie était un pays condamné et voué à l’échec. J’avais tout fait pour comprendre sa démarche mais je ne comprenais toujours pas les intérêts pour développer un tel sujet ni non plus pourquoi il s’acharnait sur les haïtiens et le nom de leurs pays.

Cependant en écoutant les télévisions françaises, puisque au Québec ce discours n’avait aucune écoute et que non plus pas grand monde suivait ce rabbin, j’ai pu très vite établir les liens entre les intérêts du Grand Rabbin de France qui parlait sur les ondes d’une station communautaire à Montréal parce qu’en France les philosophes, les intellectuels juifs tapaient continuellement sur les Arabes et plus particulièrement les Maghrébins. D’ailleurs, il y en a un très connu qui a même été condamné pour incitation à la haine, il s’appelle Zeymour Éric, un juif originaire semble-t-il de l’Algérie. Cet individu livre le combat contre les Arabes comme s’il était plus français que les français de France pour répéter un ancien poète haïtien Etzer Vilaire. Bien entendu pendant longtemps je me suis questionné sur le jeu qu’il joue dans les médias français à savoir s’il défendait la France rétrograde ou bien s’il défendait son côté juif et son appartenance juive. Pour vous dire, il ne semble rien avoir avec la France. Allez savoir pourquoi.

Les juifs, disons plus précisément, le Rabbin de France en question qui se permettait de taper sur les haïtiens faisait quelque chose de très complexe idéologiquement, il détournait les attentions des blancs du Québec vers les haïtiens afin de forcer les blancs à les oublier ou ne pas les remarquer. De même, j’avais compris que cela pouvait être une stratégie de communication visant à attiser à sa manière, je suppose, une certaine haine des québécois contre les haïtiens. Malheureusement, ça n’a pas marché puisqu’il n’a plus la parole sur cette radio parce que, les haïtiens sont plus intégrés au Québec que les Arabes le sont en Europe et en France et que les haïtiens se ressemblent beaucoup plus aux québécois culturellement que n’importe quel français dans les colonies actuelles de la France.

Par ailleurs, le peuple québécois ne partage pas les mêmes ignorances du peuple français concernant les Noirs. Toutefois, en poussant mes recherches plus loin j’ai établi encore un autre lien, c’est que, deux a cinq ans plutôt il y a eu le fameux discours d’échec de jacques parizeau qui reprochait aux votes ethniques la perte de son référendum de 1995. Tout était sur le plateau et, il ne manquait que la tête de Saint Jean-Baptiste pour que la fête de la propagande juive (Du rabbin de France) anti-haïtien soit réussie. C’était le lien fatal qui m’a même inspiré un très beau texte sur les crimes croisées et que plusieurs lisent régulièrement sur mon blogue.

Autrement dit, il y a des groupes qui pour se protéger, prennent le malin plaisir à détourner les projecteurs qu’ils ont sur eux vers les autres afin que ces derniers soient racisés et donc tourmentés. Il y en a même, je le suppose simplement, qui seraient prêts à former des groupes criminels contre certaines populations et sociétés d’accueil dans le seul but de détourner les attentions et les projecteurs qu’ils ont sur eux vers les autres. Ils utilisent la croyance et les convictions de ces autres contre eux afin de ne pas ou de ne plus être les cibles habituels. Revisiter les thèses complotistes pour vous rendre compte qu’ils y a des groupes qui ne sont jamais ciblés, hasard ou coïncidences? À vous de voir et de savoir. Moi, je suis très indifférent à ces groupes et je les observe pour mieux les analyser et les comprendre.

Toujours dans la même veine, détourner les attentions des uns vers les autres et subventionner des crimes contre contre des innocents, ces types de crimes croisés sont tellement sophistiqués que même les services secrets ne sont pas si bien intelligents pour les détecter. Les crimes sont orchestrés par un ennemi, qui se cache derrière les rideaux, fondamentalement haineux, mais ces crimes sont commis par quelqu’un susceptible de les commettre mais qui n’a aucun lien direct avec sa propre communauté ou sa culture pour le compte du tierce en question qui l’a orchestré et financé.

Pire encore, les crimes sont financés par des amis proches et des alliés proches donc, par un mercenaire idéologiquement inféodé qui aura été bien travaillé par un puissant service secret au nom d’une autre communauté. Voilà ce qui est la très grande réalité de la grande majorité des actes terroristes commis actuellement dans le monde depuis le 11 septembre 2001. On détourne les projecteurs sur les autres pour pouvoir se faire passer pour un saint. Tout le monde est aveuglé. C’est la magie des grands génies des services d’intelligence au service des desseins religieux et politiques des États voyous et des peuples criminels dans le monde. En pensant, à tout ce qui vient d’être dit ci-haut, aviez-vous pensé au racisme aux États-Unis et surtout ces dernières montées malgré les grands rêves de Martin Luther King Junior lorsque ce sont des grands idéologues qui produisent des films racistes à Hollywood. Qui ont vraiment peur de l’égalité et de la liberté financière des Noirs aux USA? Je suppose que ce ne sont pas les blancs moyens ou pauvres. Uniquement les riches qui profitent des bas salaires et plus particulièrement des millions de Noirs qui travaillent au salaire minimum. Et, qui d’autres ne sont pas sûrs qu’ils vont garder leurs maisons ou leurs boulots lorsque Wall Street décident de vider leurs fonds de retraites ou leurs épargnes, tous les autres, blanc pauvres, blancs classes moyennes, Noirs, asiatiques, Latino. Enfin, à Qui les riches laissent la sale job de trouver le coupable de leurs misères et catastrophes économiques et financières, les blanc de la classe moyenne américaine au Québec et partout en Occident.

Selon nous, le racisme, (le suprématisme, la xénophobie même chose en réalité) c’est un sous système d’exploitation, inventé par des mercenaires, (des criminels, des assassins devenus de nos jours riches, dirigeants, des fortunés qui ensemble ont construit nos sociétés modernes,) qui assure efficacement la sécurité de ces gens, (des riches, les bourgeois) par la division sociale fondée sur la race.

à suivre

Hermann Cebert

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