Comment pourrait-on guérir le coronavirus covid-19: une expérience qui pourrait valoir son pesant d'or. Soyons un peu naïf!


Les suggestions que je me propose de vous offrir aujourd’hui sont d’abord et avant tout un hommage que je veux rendre à ma mère qui est morte dernièrement le jour même de mon anniversaire et également à un grand savant médecin feuilles Monsieur Exavier Exavius Pierre qui a vécu à Fermathe non loin de Kenskoff et  de Pétion-Ville en Haïti.

On dirait ce monsieur de nos jours prêtre Vodou ou  sorcier haïtien qui pourtant n’avait jamais mis les pieds à l’école de format occidental mais qui connaissait très bien les feuilles et les plantes telle une encyclopédie moderne, Il est mort inconnu certes du reste du monde mais combien présent dans ma tête puisque si je suis encore vivant aujourd’hui c’est en quelque sorte grâce à ses connaissances et sa grande intelligence.

De même, mes suggestions s’inspirent tout aussi de mes propres expériences personnelles, de ma propre logique ainsi que de mes propres observations et utilisations des produits naturels tels que les feuilles et les extraits d’huiles essentielles.

Je sais que mes suggestions auront très peu d’impacts sur les sociétés occidentales mais pour les pays comme Haïti dont les systèmes de sanitaires et de santé sont quasiment inexistants et dont les peuples ont toujours un système D de débrouillardise qui permettent aux citoyens de recourir à la médecine traditionnelle, mes suggestions pourraient atténuer très grandement les effets de la pandémie du coronavirus, c’est ce que j’espère en tout cas dans la mesure que les internautes facilitent la circulation de ce texte au sein de ces populations.

Voici l’histoire qui m’inspire pour ces suggestions et elle me concerne directement.

En effet, lorsque j’étais plus jeune, je souffrais de l’asthme, de pneumonie et j’avais de la misère à respirer et je toussais beaucoup ce qui m’empêchait de bien dormir et d’avoir une vie normale. Ma mère avait consulté tous les hopitaux du pays incluant le sanatorium où l’on traitait toutes ces maladies. Malgré les efforts de ma mère, il n’y avait aucune solution à mes problèmes puisque je ne cessais de souffrir. Or, étant donné la superstition qui règne depuis toujours en Haïti bein que très négatif pour le pays, quelqu’un avait fait croire à ma mère qu’elle devait consulter un médecin feuilles ou prêtre vodou comme s’il s’agissait d,un mauvais esprit qui s’emprenait à moi et de ce fait il fallait que ma mère aille trouver un sorcier pour pouvoir me guérir.

Devant la peur de me perdre et compte tenu des expériences de ma mère en ce qui concerne la mort prématurée de ces deux premiers garçons dix ans auparavant, ma mère a décidé de se tourner vers le père de son fils adoptif qui était très respecté comme connaisseur en la matière.

Évidemment, ma m’a emmené chez le père de mon frère adoptif et arrivé chez lui, avant même que ma mère lui dise pourquoi elle était venue le voir, il m’a vu et m’a entendu toussé en disant à ma mère que son fils avait de la misère à respirer et qu’il savait quoi faire.

Ma mère lui a dit que c’était ça la raison de sa visite. Il dit à ma mère qu’il l’avait compris de ce fait, laisse lui aller chercher quelques remèdes et qu’il ne sera pas long dans ses recherches.

Étant donné que Père Exavier savait ce qu’il voulait pour régler mon problème, c’est ainsi que je m’adressais à lui et peut-être parce que tout le monde l’appelait papa, quelques minutes plus tard il est revenu avec quelques chadèques ou pamplemousses, du gingembre, du citron, de la feuille de menthe, de l’assorossi, des oranges du meliton ou de la choyotte. Tous des produits qu’il avait autour de la maison et venus directement de son jardin.

Toujours selon ma mère, il commence par couper les chadèques ou pamplemousse et qu’il offrait à tout le monde tout en leur demandant de lui donner tous les pépins avant même qu’ils passent par leurs bouches. Une fois qu’avait les pépins, il a pris son pilon ou mortier pour piler les pépins avec quoi il a obtenu une pâte qu’il fait passer dans un tamis ou possessoire. en y ajoutant de petites quantités d’eau, il demande à ma mère avec une petite cuillère du liquide obtenu de me donner trois gouttes sur la langue.

Selon ma mère, j’ai fait une grimace avec mon visage tout en essayant d’avaler le liquide en question, j’ai fait quelques pètes et j’ai roté. Père Exavius Pierre a dit à ma mère, voici, je vous ai donné votre fils, il est guéri son pète traduit bien les effets du produit. Vous avez un très beau garçon, plus personne ne pourra lui faire du mal, un jour il témoignera de qui je suis parce qu’il parlera pour les gens comme moi qui ont reçu des dons du ciel.

Même si tu penses qu’il ne peut maintenant rien comprendre, il comprendra tout ce que tu lui diras même s’il ne parle pas encore. Ce garçon fera ton éloge parce que c’est une vieille âme que Dieu t’a donné la responsabilité de t’occuper.

C’est vers l’âge de treize ans que ma mère à commencer à me raconter mon histoire et depuis nous avons développé une très grande complicité jusqu’à perler parfois avec très peu de mots voire dans des songes et des rêves. Ce jus qu’avant sa mort et aujourd’hui même après sa mort. D’ailleurs, juste une petite anecdote, ma mère est morte dernièrement le jour même de mon anniversaire. Une date qu’elle m’avait toujours fait croire et comprendre qui devait être le jour de ma mort.

De plus, ma mère croyait que j’étais né une année bissextile que je je comprends aujourd’hui l’année et la date de sa propre mort. Par ailleurs, depuis ma tendre enfance ma mère avait toujours tout fait pour ne pas être tout proche d’elle le jour de mon anniversaire et même lorsque j’étais à l’université ma mère m’empêchait de faire quoique ce soit ce jour de mon anniversaire jusqu’à me cacher chez des amis mes propres chaussure afin de ne pas sortir ce jour là. Et depuis toujours, j’ai toujours tout fait pour prendre mes vacances annuelles cette semaine de mon anniversaire en pensant que ce pouvait être le jour de ma propre mort. Je ne me souviens pas vraiment d’une seule année que je n’étais pas en vacance durant la période de mon anniversaire. Et les rares fois que je m’étais dérogé de ne pas respecter ce confinement, j’étais toujours malade. De ce fait, j’ai toujours tout fait pour être chez moi ce jour-la en train de prier ou d’aller à l’église ou encore participer à une retraite fermée.

Tout ceci dit, depuis que Père Exavius m’avait administré les trois gouttes de l’extrait des pépins de pamplemousse je n’ai jamais eu de problèmes respiratoires et tous les problèmes respiratoires étaient derrières moi. J’étais guéri définitivement.

Aujourd’hui, selon les données que j’ai sur le coronavirus, je vous propose ce médicaments et je suis certain qu’en administrant trois gouttes de cette huile essentielle à toutes les personnes atteintes du coronavirus on pourrait les soulager voire les guérir définitivement. Évidemment, actuellement rien ne doit empêcher à quelqu’un d’essayer qu’il s’agisse de soi-même ou d’un proche car devant l’absence de médicaments pour guérir la contamination ça vaut la peine de simplement l’essayer puisqu’il n’y a aucun autre médicament disponible et en ce sens, quoiqu’il en soit il n’y a aucun autre alternatif disponible à la pandémie.

Je vous propose de l’essayer car en fait que vous ne l’utilisiez pas ou non vous risquez de mourir et tous ce que la science vous offre actuellement c’est la quarantaine sans médicaments scientifiques ce qui correspond à une possibilité d’éviter de contaminer les autres en attendant votre mort certaine. Moi, aujourd’hui je vous propose un essai et tout ce que vous devez faire c’est d’essayer trois gouttes d’extrait de pépins de pamplemousse qui peut en moins d’une minute vous apporter au moins un soulagement. Il y a très peu de chances de développer des allergies parce qu’il s’agit de produits naturels. Et qui dit produits naturels dits également assimilation facile du corps humain.

Écoutez ma voix dans le désert. Soyez cette fois-ci un peu naïfs tout en étant rationnel plus tard. Ne durcissez pas votre rationalisme à l’extrême étant donné que la science moderne ne peut vous donner des solutions qu’à long terme cependant, la mère nature est toujours actuelle et instantanément dans ses solutions. Et à vous qui lirez ce texte, soyez les témoins de cette vérité en partageant cet texte afin qu’un plus grand nombre de personnes puissent être informées. Ne soyez pas égoïstes partagez le dès maintenant et ce faisant au moins quelqu’un aura la chance de se guérir.

On serait tenter de lancer des fleurs à la grande majorité des dirigeants qui gèrent présentement le coronavirus cependant en observant les différentes mesures prises par ces dirigeants, on peut se rendre compte facilement à quel point, que ces mesures sont inefficaces voire que certaines sont inopérantes dans la pratique.

Évidemment, la pandémie remet en question tous les fondements de nos sociétés dites modernes tels que la science et les technologies compte tenu de leur omnipotence au cœur de nos sociétés et vu également que les technocrates aient pris en otage nos sociétés en ce sens qu’ils sont les seuls à décider qui nous sommes et laquelle liberté que chacun de nous peut jouir;

nos systèmes politiques qui nous divisent beaucoup plus qu’ils nous rassemblent ou qu’ils nous tiennent soudés les uns aux autres. J’espère que nos générations se rendent compte à quel niveau que les objectifs de nos idéologies servent ceux qui veulent nous soumettre à leurs volontés.

À ce propos, les injections d’argents dans les économies par les dirigeants des pays occidentaux ce qui devait être du domaine des idéologies socialistes ou encore les confinements forcés par le régime chinois sans aucune injection d’argents dans l’économie chinoise ou encore la neutralité de l’État russe comme non mesure pour répondre à la pandémie du coronavirus mais d’une police qui chasse les asiatiques en Russie montrent clairement que toutes les questions idéologiques sont des mensonges qui profitent à des minorités de dominer les plus faibles.

le système éducatif à cause de la fédération des savoirs et des connaissances dans la tête des professeurs selon des modèles de punition-récompense et performance – évidemment, des modèles qui rejettent les formes passives d’apprentissage;

nos modes de vie dont l’individualisme et le nombrilisme qui se structure autour de soi et pour soi-même;

nos modèles de consommation qui se tournent autour de l’accumulation éhontée et excessive de biens et de richesse de telle sorte que nous consommons beaucoup plus que nous en avons véritablement besoin (comme je le dit souvent, l’être humain est le seul être vivant qui chasse et qui tue pour son propre plaisir et de façon  récréative;

nos modèles de travail tournées vers l’extrême performance, nos systèmes de répartition de richesses dont les écarts extrêmes entre ce qui s’enrichissent continuellement et aux dépens des autres et du reste de nos populations;

nos systèmes de sécurité qui n’incluent pas les populations;

nos systèmes de santé et de soin qui sont devenus des investissements et de la rentabilité avec des services qui s’adressent à des clients et des consommateurs totalement dépendants de la science, des spécialistes et des technocrates etc…

Bien entendu, il y a de bonnes et de très bonnes mesures qui sont prises par les États pour faire face à cette pandémie néanmoins la question que l’on se doit de se poser c’est comment se fait-il, qu’un petit virus puisse avoir autant d’impacts sur l’ensemble de la planète en très peu de temps et pour un si grand nombre de victimes. D’abord, il faut le reconnaître et l’admettre, que nous avons la mémoire courte et nous n’avons rien appris de nos histoires passées. De même, nos préjugés sont responsables de nos isolements des uns des autres.

Tout ceci dit, Comment peut-on comprendre le coronavirus ou covid-19 selon les quelques informations que l’on nous a seulement communiquées. En effet, bien que nous ne soyons pas spécialistes des différents domaines de spécialisations qui devaient étudier ce virus, notre logique et nos expériences de vie peuvent quand bien même nous permettre d’essayer de comprendre ce que nos dirigeants ne nous communiquent pas et du coup, nous aider à réfléchir sur le processus de contamination, les solutions probantes et quelques hypothèses de guérison en tenant compte des différents symptômes que provoque le virus.

En effet, selon ce que nous savons à partir de ce que les dirigeants nous ont communiqués jusqu’ici, le coronavirus est reconnu ou identifié par les symptômes de la toux, de la fièvre, et des problèmes respiratoires tels que l’asthme, les bronchites, la pneumonie et les étouffements.

Sachant cela, il aurait été nécessaire également que l’on nous communique les signes avant coureurs qui précèdent les dits symptômes tels que vomissement, diarrhées, des maux de têtes, frémissements ainsi que d’autres signes sur les formes d’agonies qui précèdent la mort des victimes.

Malheureusement, toutes ces informations sont gardées secrètes par peur d’alarmer les populations bien que inefficaces ces retenues de la part des dirigeants. Pourtant, la science et la recherche devaient être participatives dont la participation de la population surtout pour les expérimentations, j’expliquerai une autre fois cette approche qui n’a rien de nouveauté puis-quelle a déjà existé dans d’autres sociétés habituellement considérés comme barbares et sous-développées. Je reviendrai plus tard la-dessus.

Un virus c’est un corps étranger qui selon certaines caractéristiques qui lui sont propres et lorsqu’il entre dans notre organisme provoque certaines réactions dans le corps ou dans l’organisme qu’il entre. En ce sens, chez l’être humain, lorsqu’un virus pénètre son corps par les ouvertures comme la bouche, les oreilles, les yeux, les narines notre organisme réagit vivement soit qu’il tue le virus, soit qu’il s’adapte, soit qu’il l’assimile soit qu’il se protège en se fermant pour se protéger compte tenu de la menace que notre corps ressent ou présume.

Au cas où notre corps ou nos systèmes de défense perçoit le virus comme un danger ou comme un très grand risque, notre organisme se repli sur lui-même pour se protéger en fermant tous les accès à ce virus. Or, en se fermant les accès, l’organisme cesse d’exécuter ses tâches habituelles pour se concentrer sur sa propre défense et se faisant, il produit certaines sécrétions propres à lui-même mais, en même temps puisqu’il ne remplit plus ses propres fonctions, les autres organes et les autres fonctions qui dépendent de ses actions se retrouvent à être paralysées et ainsi de suite sur l’ensemble du système ou d’une personne puisqu’il s’agit d’un être humain que nous parlons.

Si notre démarche se comprend comme nous souhaitons nous faire comprendre, il devient évident dans le cas qui concerne le coronavirus, nous pouvons comprendre que ce virus que l’on nous dit qui accède à notre corps par les narines, donc, le point d’entrée de l’air et de l’oxygène vers nos poumons qui nous permettent de respirer, nous devons comprendre, dans ce cas-ci, que les poumons aient perçus le coronavirus comme un grand danger et une très grande menace par conséquent, les poumons décident de se refermer en empêchant à l’air vicié qui contient ce virus d’entrer et se faisant, les poumons ne remplissent plus leurs fonctions essentielles en se mettant à se défendre au lieu de remplir ses fonctions essentielles.

De fait, pour se protéger, ils se libère de l’air et de l’oxygène qui était disponible. De même, il se se met à se contracter puisqu’il ne cesse d’être sollicité par les autres organes qui dépendent de ses fonctions. Et en ce sens, il se défend d’un côté et en même temps il se met à céder à la pression du virus qui s’attaquent à eux et devant ce dilemme, se défendre et subir les pressions du virus, alors ils se mettent à produire des déchets qui vont contaminer les autres organismes qui dépendent d’eux ce qui affecte et qui rende à leurs tours malades les autres organismes. Entre temps, puisque le reste du corps ne reçoit plus ce qu’il a vraiment besoin pour se maintenir en équilibre et en santé, alors les intestins, le cœur, les reins finissent par perdre leurs vitalités et il s’accumule des gaz carbonique tandis que d’autres organes essentiels se meurent lentement puisque ils tombent dans un état d’agonie.

À titre d’exemples, le cœur qui habituellement a besoin de l’oxygène pour filtrer le sang ne reçoit plus cet oxygène dont il a grandement besoin pour effectuer le pompage  du sang et mieux encore, il reçoit les déchets dont les muqueuses qui sont produites par les cellules des poumons ce qui agite le cœur qui se mettra à paniquer et également réagira en décidant de fermer ses accès pour l’arrivée de ces éléments polluants dont il ne s’attendait pas. Il y a donc une suractivité du cœur ce qui augmente les battements du cœurs de telle sorte que cela affecte les autres organes qui ne peuvent plus remplir leurs missions.

Et, on peut imaginer tous les effets que le cœur aura sur les autres parties du corps humain et puisque le sang n’est plus alimenté en oxygène, les efforts du cœur pour se protéger augmentent la chaleur du corps et en amont également puisque les poumons avaient déjà décidé de se protéger contre le virus qui est arrivé par les narines produisent des muqueuses qui auront besoin de sortir ce qui fait ils utiliseront la gorge et les narines et les oreilles pour pouvoir sortir.

On aura donc, du rhume qui va s’accumuler dans la gorge et compte tenu des enjeux auxquels les poumons font face, l’individu se mettra à tousser ce qui forcera les poumons à céder au fur et à mesure au virus qui profitera pour pénétrer du coup les poumons. Et en aval également, le corps se mettra à se chauffer produisant de la fièvre.

Autrement dit, une fois que nos poumons font face au coronavirus, il se produit de la toux parce que l’oxygène ne pénètre plus dans les poumons et puisque les poumons se protègent ils ne sont plus alimentés par l’oxygène ils ne peuvent non plus alimenter le cœur en oxygène ce qui provoque des affaiblissements des autres organes qui dépendent de l’oxygène et du sang qui les nourrit alors il se produit de la mort de certaines cellules et telles sortes que tous les autres organes se mettent en état de défense et produisant ainsi de la fièvre.

Devant cet état de fait où tous les organes et toutes les cellules du corps se mettent en état de défense, nous devons à présent formuler quelques alternatives  afin de rétablir notre système. Comme solutions,nous devons reconnaître que la porte d’entrée du virus coronavirus avaient été les narines donc les poumons, nos recherches de solutions doivent s’orienter du coup vers le soulagement des poumons en les offrant quelque chose qu’ils aiment qui les permettent de retrouver leurs états de confiance afin de gérer le virus.

Ce scénario bien que nous le faisions en fonction de ce que nous disposons comme information disponible ne semble pas correspondre à la réalité selon nous compte tenu de nos expériences en ce qui concerne l’asthme, la coqueluche et la pneumonie.

En effet, selon nous, il serait plus probable que le corps commence à réagir au niveau de la gorge bien avant les poumons faisant en sorte que dès que le corps détecte le virus, la gorge commence à se contracter bloquant à son niveau le virus en l’empêchant de descendre vers les les poumon et moins encore vers les intestins et le gésier.

Or, se faisant, les poumons se mettent à gonfler envoyant le message qu’ils ont besoins de l’air et de l’oxygène et compte tenu des pressions qui se font par les poumons, le coeur qui de son côté aussi ne reçoit plus son oxygène dont il a besoin se mettent également à paniquer. Il doit se produire des raideurs et des douleurs ou courbatures au niveau des du cou, des épaules alors même que tous les muscles deviennent raides étant donné qu’ils ne sont plus alimentés par le sang qui pourrait commencer à se coaguler.

En effet, nous savons que la menthe, l’acide, le piquant sont des produits qui peuvent soulager les poumons, il apparait donc que tout produit à forte dose de ces ingrédients peuvent forcer les poumons à se relacher en acceptant le passage du virus. Ainsi donc, et parallèlement nous avons besoins de nous attaquer au virus qui poussait les poumons à se défendre. Et surtout, nous devons trouver un dégongestionnant pour libérer la gorge de son contraction afin de laisser passer le virus.

Pour cela il faudra tromper la vigilance de la gorge, des poumons tout en s’attaquant au virus. Par conséquent il nous faut un tueur pour le virus et également un calmant pour les poumons afin de permettre à l’oxygène d’arriver dans le corps. Et le produit que nous devon utiliser doit pouvoir avoir une action immédiate qui en moins d’une minute et au maximum cinq minutes ouvrir le passage afin de laisser passer le virus.

À ce propos, je ne vois rien d’autre que l’extrait du pépin de pamplemousse qui est un vrai poison pour toutes les sortes de bactéries et qui possède un bon acide que les poumons apprécient très bien. Évidemment, pour un traitement définitif, on pourra toujours prendre ou administrer les autres extraits pour les autres problèmes engendré par le blocage des voies respiratoires comme des remèdes pour la fièvre et le rhume bien que le pamplemousse soit un véritable tueur pour toutes les autres formes de bactéries produits ou existant dans le corps humain.

C’est à ce propos que nous aurions encouragé après avoir versé sur la langue du malade trois gouttes d’extrait de pamplemousse, une cuillère de jus de gingembre, un cuillère de concentre du jus de feuilles de nime pour la fièvre ou encore un thé composé de thym, de romarin, de girofle, de cannelle tous des antibiotiques et qui peuvent répondre aux divers besoins du corps ayant été malade. Pour les personnes diabétiques, on pourrait offrir des légumes comme le choyotte ou meliton, des épinards, du crésson, du jus d’aloès qui viendront régénérer le corps qui traumatisé par l’arrivée du virus.  Notez néanmoins, habituellement, les médecins donnent souvent des contre indications par rapport à la prise des médicaments et de la consommation du pamplemousse par conséquent si vous prenez des médicaments cessez de les prendre avant et après d’utiliser les gouttes de l’extrait des pépins de pamplemousse.

Et comme me l’avait fait remarquer mon cousin Jhonny Victor, la médecine naturelle rencontre deux problèmes majeurs que sont la dose ou la quantité à prendre et certaines contre indications. De fait je vous invite donc, en attendant que la pharmacologie naturelle apprenne à définir les doses que l’on peut prendre pour les produits naturels, je vous invite à toujours commencer l’utilisation d’un produit naturel à faible et petite dose et également d’arrêter tous les médicaments si vous en prenez bien sûr car les produits pharmaceutique ou de la médecine moderne c’est d’abord et avant de la chimique. D’ailleurs, ils ne servent pas à guérir mais à soulager ou calmer un problème car les intérêts financiers en arrière de la production de ces produits les forcent à ne pas mettre assez de concentrés dans leurs produits afin de vous rendre toujours dépendants. On a qu’à penser aux tylenols, aux aspirines, aux ibuprofènes etc… dont nous sommes tous devenus des accrocs sans aucune raison valable.

Parmi les produits que nous connaissons qui d’abord tuent les bactéries il y a très certainement l’extrait du pépin de pamplemousse, c’est un antibiotique naturelle qui n’a aucun effet négatif sur le corps humain, il y a le ti baume, une sorte de feuilles de menthe qui est un autre antibiotique, il y a le gingembre, il y a le nime utilisé autrefois dans la fabrication des médicaments contre le malaria et le paludisme. Il y a l’extrait du pépin de bergamote qui est aussi puissant que celui du pépin de pamplemousse. 

Hermann Cébert