Les limites de la démocratie en Occident c'est que cette démocratie a peur de son ombre lorsqu'elle est en contradiction avec elle-même. Alors, elle devient violente, méchante, criminelle
Au commencement, plus particulièrement, au tout début de l’éveil de la conscience chez l’homme sur terre, rien. Rien dans le sens que l’homme ou l’être humain n’avait aucune conscience de son existence sur terre. Il agissait et se comportait comme tous les autres animaux et de toutes les autres espèces avec qui il partageait cette terre. Il n’y avait rien comme pensée ou imagination dans l’esprit de l’homme. Il se nourrissait de végétaux et de quelques petits insectes.
Mieux encore, il n’y avait ni dieux, ni science, ni philosophie, ni morale non plus. L’humain était donc seul avec lui-même. Il n’avait aucune conscience, aucune raison, aucune connaissance, aucun savoir. Il ne savait pas qu’il ne savait pas et il ne savait pas ce qu’il savait. Il n’existait pas et il ne savait s’il existait ou qu’il n’existait pas. D’ailleurs aucune de ces idées et de ces pensées ne passaient dans son entendement voire s’il en avait véritablement un tel entendement.
Bien entendu, ici je parle de l’être humain ou des premiers hommes qui se sont apparus sur terre en dehors de toutes les considérations évolutionnistes ou créationnistes compte tenu que toutes ces théories seraient postérieures à l’apparition de l’homme sur terre. Et, très certainement, qu’il eût été créé ou qu’il eût été le produit d’un processus génétique comportant des stades, ne nous empêche pas non plus de faire cette considération ou de reconnaître l’existence de ce moment initial par rapport à l’être de conscience que l’homme est devenu parce que, il doit y avoir plusieurs milliers et millions d’années.
D’ailleurs, ces deux courants de pensées concernant l’origine de l’homme regorgent de mensonges et d’incohérences qui nous écartent réellement de ce que nous savons depuis toujours et bien plus encore aujourd’hui et à l’heure actuelle.
En effet, l’évolutionnisme suppose des stades de telle sorte que quelque chose se change pour devenir quelque chose d’autre et le quelque chose d’autre se change en un autre quelque chose d’autre et ainsi de suite. Tout cela, sur une période plus ou moins longue, soit quelques millions d’années. Malheureusement, nous ne pouvons pas observer tous ces changements et pas plus que nous ayons même des exemples vivant devant nous aider à faire de telles observations.
Ce que je veux expliquer par là, c’est que la théorie de l’évolution ne se démontre pas et qu’elle soit seulement une simple affirmation d’un esprit scientifique complètement fatigué. Pour qu’elle ait été vraie, il fallait qu’elle soit d’abord et avant tout vérifiable à partir de plusieurs chaines de processus de changements montrant clairement les ensembles de parcours de ce processus de changement.
Et, seulement sur cette base et par ces exemples de processus en cours, on pouvait dire à quiconque, je veux parler d’un être vivant voici à quel stade vous allez vous trouver et puis, voici également dans quelle direction que votre espèce s’en va.
Ce grand laboratoire à ciel ouvert de la mère nature n’existe pas et n’a pas été inventé par la science moderne qui s’occupe de cette réalité. En tout cas, je souhaite ardemment que l’on puisse en construire un qui nous permettrait de mieux comprendre cette théorie qui n’est rien d’autre qu’un ramassis de tous les préjugés de la période qu’elle est apparue.
Conséquemment, il est donc faux de dire, voire de propager que l’être humain aurait pu avoir comme ancêtre le chimpanzé de telle sorte que le chimpanzé en tant que stade ou état primaire de l’être humain noir et l’être humain de couleur noir soit également le stade ou l’état du processus de changement qui atteindra l’être humain de couleur blanc ou encore l’apogée de l’évolution de l’espèce humaine.
En d’autres termes, pour quelqu’un qui se dit être partisan de la théorie de l’évolution, ce serait donc quelqu’un qui admettrait ou qui serait d’accord avec l’idée que le chimpanzé resterait toujours chimpanzé, incapable de penser, qui n’a pas de conscience, qui ne pense pas, qui n’a pas de logique ni de sentiment bref, qui restera toujours dans cet état. Pourtant, à certains points de vue, je pourrais expliquer sous certaines réserves bien sûr, la théorie évolutionniste pour parler du papillon par exemple.
En effet, tout le monde sait et tout le monde à la possibilité d’observer le changement qui se fait chez la chenille tel que le temps que cela peut prendre, le processus des diverses transformations qui s’opère chez la chenille qui finalement va devenir un papillon. Tout cela c’est ce laboratoire à ciel ouvert de la nature qui nous permet de le savoir, à partir de l’observation ainsi que la manifestation de ce phénomène.
Malheureusement nul part ailleurs qu’ici-bas, personne ne peut m’offrir cette possibilité de constater par moi-même un chimpanzé qui se transforme ou qui se change en homme noir ni non plus un homme noir qui devient blanc. évidemment on me formulerait encore l’hypothèse du temps comme plusieurs millions d’années par exemple, mais là encore je réfuterais une telle assertion en disant simplement pourquoi doit-il être autrement pour l’humain alors que la chenille et le papillon c’est une question de jours avant que la chenille se change en papillon.
De même, celui qui serait évolutionniste admettrait également comme on le croyait à l’époque de Charles Darwin que les êtres humains de couleur noire sont des bêtes, sont des sous êtres, des stades et des états d’un processus de changement et d’évolution qui donnera naissance à l’homme de couleur blanc, ce ne sont pas des être véritablement, ils sont génétiquement programmés pour être violents, la forme de leurs nez, la texture de leurs cheveux, l’épaisseur de leurs lèvres les prédispose à la violence, aux crimes, à la souffrance, qu’ils sont incapables de penser par eux-mêmes, ils sont dépourvus de logiques, ils sont prédisposés pour couler dans l’eau.
Bref, l’homme noir de par sa génétique ne pourra jamais atteindre l’état d’être humain parce qu’il est un stade, un état qui font en sorte qu’il demeurera pour toujours dans état de sous être humain. En revanche, toujours selon la théorie de l’évolution et de ses adeptes bien entendu, au cours d’un processus de sélection naturelle, c’est-à-dire par le croisement au sein d’une famille d’espèces, la famille d’espèces des chimpanzés, des noirs par exemple, les individus faibles de l’espèce disparaissent tandis que les plus forts de cette même espèce noirs et chimpanzés toujours en l’occurrence, vont se développer une conscience, de la logique de telle sorte que cet homme blanc sera au sommet de la hiérarchie des espèces.
D’après vous, est-ce que c’est vrai tout cela? En ce qui me concerne, ma grande conclusion est faite de façon nette et claire. Reste donc à vous d’adhérer à la théorie de l’évolution.
Toujours, dans notre approche déconstructiviste, en ce qui concerne le créationnisme selon l’idée que l’homme serait des entités créées par une intelligence, un architecte, un dieu, ou tout simplement Dieu, rien ne nous empêche de reconnaître qu’entre le moment de la création et de l’éveil de la conscience chez l’homme qu’il n’y a pas un moment, un état où cet être créé probablement, n’ait pas été inconscient de lui-même et ou de son environnement.
D’ailleurs, la bible elle-même nous révèle dans le livre de genèse, qu’Adam était la première créature de Dieu et qu’il était seul. De plus, des côtes d’Adam, Dieu créa Ève. Ces deux être vivaient au paradis jusqu’au moment où Ève mangea la pomme de l’arbre défendu après que celle-ci ait été séduite par le serpent, le diable en personne, les deux connurent par cet fruit que Dieu les interdisait de manger, la différence entre le bien et le mal.
Que signifie, la différence entre le bien et le mal? D’abord, disons qu’il y a, par cet exemple, bien que cela soit une fiction, deux moments importants dans l’entendement de l’être humain, l’avant de la séduction qui accompagne l’action de manger le fruit interdit et, d’un autre moment qui est l’après de manger ce fruit. Néanmoins nous avons donc comme trait d’union entre ces deux moments la vérité et la conscience de l’homme.
Évidemment, nous ne pouvons nous empêcher d’essayer de savoir si cette conscience a préexister dans l’entendement de l’homme ou s’il n’en était pas là. Tandis que l’homme savait que ce fruit était défendu pourquoi il n’était pas en mesure de faire la distinction entre ce qui était bien et ce qui Était mal? De même pourquoi ils n’étaient pas non plus en mesure de se rendre compte qu’ils étaient nus dans ce jardin?
Entre ces deux moments comme je dois le reconnaître, la conscience était absente chez l’être humain. Autrement dit, peu importe nos croyances actuelles et nos adhésions à des constructions philosophiques qui sont simplement de simples gouttes d’eau dans la compréhension de l’origine de l’être humain, nous pouvons reconnaître qu’à l’état de nature l’être humain n’avait pas de conscience et que la conscience est une appropriation ou un développement plus ou moins tardif dans l’éveil de l’homme
Tout cela me conduit à dire que, l’être humain ou l’homme à l’état de nature auquel je fais référence ici et dans le cadre de ce texte est à mon avis dépourvu de conscience mais qui pourtant existe réellement et physiquement vivant. Cet homme n’était rien et que rien parce qu’il n’avait pas de conscience, ni logique, ni raison. Par ailleurs, il ne savait rien de lui, rien de son monde et rien de son environnement. C’est ce que les consensus arrivent à identifier comme l’homme à l’état de nature.
Évidemment, à cet état de nature et dans cet état de nature, donc moment de l’absence de conscience chez l’homme, il ne peut pas exister de preuves qui prouvent que cet État ait pu exister dans le temps et qu’il pourrait constituer une période de l’existence de l’homme sur terre.
De même, puisqu’il s’agit d’un état, aucun être humain ne peut revenir à cet état parce qu’il serait figé dans le temps. Même la conscience absente ne peut non plus décrire cette étape, cet état parce que cet état était un état inconscient, si nous pouvons l’appeler ainsi, bien que cela soit non logique de parler d’état d’inconscient chez l’être humain.
Tout aussi bien nous ne pourrions non plus parler d’État de non conscience parce que nous ne pouvons nommer une période de non conscience bien que nous soyons obligés en dernier recours de tolérer une telle assertion pour laisser avancer notre réflexion. Par contre, nous parlerons seulement de non État de non conscience et non un État de non conscience.
Si vous avez remarqué combien il m’est difficile de parler voire de nommer une période dite de la période de l’homme à l’État de nature. C’est-à-dire
L’homme s’était rendu compte qu’il existait et qu’il était sur terre.
Évidemment, nous devons supposer que cette conscience ne s’était pas réalisée d’un coup ni comme par magie, mais par un processus plus ou moins long bien que nous n’ayons vraiment aucune certitude à ce sujet. Cependant nous devons nous baser sur la prise de conscience d’un enfant qui se fait dans la vraie vie comme étant un long processus comme s’il s’agissait d’un réveil lent et progressif.
Il pourrait donc s’agir d’un éveil long mais progressif jusqu’à ce grand étonnement où l’homme, ce premier homme bien entendu, se découvre avoir une conscience mais une conscience des choses qui l’entourent et une conscience qu’il existe lui aussi parmi ces choses là.
Néanmoins il faut reconnaître que cet état de conscience ne concerne pas l’origine de l’homme lui-même mais une conscience qui lui fait comprendre qu’il a une conscience et non pas une conscience qui lui permet de se questionner sur son origine mais sur le pourquoi, sur le comment, sur le quoi sur le quand et sur le où viennent ces choses là.
Autrement dit, à la naissance de la conscience de l’homme, l’homme a dû s’étonner en se disant Ouais !!! Et, par la suite de ce grand étonnement, qu’il se demande: que sont ces choses là? D’où viennent-elles, À quoi servent-elles? Qui sont-elles? Pourquoi sont elles là? Depuis quand sont-elles là? Qui les a faites et pourquoi elles comme ainsi? De quoi sont elles faites.
Il s’agit dans cette démarche curieuse de ce que nous pouvons reconnaître comme étant la quête de sens de l’homme. Une quête de sens qui devait s’apparenter, pour ne pas dire, qui pouvait se définir comme étant le lien qui puisse exister entre ces choses là elles-mêmes et, entre elles et l’homme dans l’esprit de l’homme.
Un lien entre la présence des ces choses là avec l’existence même de l’homme aux côtés de ces choses. Naturellement, on doit comprendre qu’ici, nous sommes en présence de la première grande activité intellectuelle de l’homme, c’est-à-dire, réfléchir par lui-même dans le but de trouver un sens à son existence et de l’existence de son environnement avec lui-même. Et, de par cette quête de sens, l’homme se découvrira des facultés pensantes, des facultés imaginatives ou conceptuelles, des facultés remémoratives, des facultés créatives et récréatives qui tous ensembles vont lui faire croire qu’il était unique parmi les autres espèces qui l’entourent, mais surtout concernant l’univers qu’il existe.
Autrement dit, en découvrant qu’il avait une certaine conscience, l’homme a associé tout son environnement à lui-même, en se donnant une certaine autorité, une certain droit, une certaine autorité sur les choses et les autres espèces qui l’entourent. Mais également il identifiera les choses selon sa compréhension selon ses capacités intellectuelles et cognitives telles qu’il est limité dans imagination et dans sa manière de se représenter ces choses et ces autres espèces. Or, à partir du moment où il était en mesure d’identifier, de reconnaître, de catégoriser son environnement et surtout des les classer selon sa propre compréhension, son entendement prendra les trois directions premières à la base du monde qu’il se mettra à bâtir et dans lequel il devra désormais vivre.
1- Ce sont, la croyance qui lui permettra de limiter ses efforts intellectuels étant donné qu’il admettra certaines choses, certains phénomènes, certaines manifestations, certaines existences comme normales et inexpliquées en ce sens que c’est ainsi que sont celles-ci. Dans ce contexte et dans cet ordre des choses et des réalités et des manifestations l’esprit ne se fatigue pas à aller en profondeur des choses, il se limite à croire et à espérer sous un fond quasi personnel ce qui facilite en quelque chose son acceptation plus facile puisqu’il s’agit de démarches personnelle et que les manifestations sont interprétatives également. L’homme se reconnait ici comme croyant et sa croyance le dépasse comme simple humain en tant que tel. Tout ce qui entre dans le domaine de sa croyance est lié de fait à sa foi dans les promesses que sa croyance lui offrira.
En d’autre termes, l’homme, même s’il ignore ce qui a pu exister avant lui, se mettra à croire tout ce dont il est incapable de s’expliquer en les admettant comme des déterministes qui vont au delà de lui-même et qui s’inscrivent dans un monde où ne saura guère puisqu’il reconnaîtra qu’il dépend et ou a dû dépendre d,une manifestation antérieure à son existence et donc d’une puissance et à fortiori de Dieu.
Par conséquent, il se va croire qu’il est simplement une créature de Dieu, ici j’ajoute, peut importe le nom que les uns et les autres vont donner à cette puissance qui est à l’origine de toute chose sur terre et partout dans l’univers, il a tout créé. Incluant bien sûr l’homme lui-même. Évidemment, ces formes de croyances seront diverses et emprunteront des multiples chemins d’où des multitudes de dieux qui prendront formes dans les croyances des hommes. De ces dieux, certains peuples, certaines cultures vont en fédérer plusieurs tandis que la grande majorité resteront telles quelles puisque impossible à fédérer compte tenu des transformations et des adaptations qu’elles ont subies au cours de leurs appropriations par les uns et par les autres.
Par ailleurs, cela pourrait être associé à quelque chose plus grand encore chez l’homme que seuls certains étaient parvenus à comprendre et à capter, les capacités du cerveau et de l’intelligence humaine.
Non loin de là, nous pouvons même penser que l’homme serait lui-même son propre dieu, Dieu également tout court. Et en ce sens, ses propres manières de concevoir, de se représenter son environnement, son univers, la réalité de ce qui l’entoure émanerait même de son divin en lui-même ou de sa toute divinité. Évidemment, plusieurs phénomènes et plusieurs manifestations de l’esprit de l’homme et de l’intelligence de l’homme déterminent une très grande part de Dieu en l’homme de telle sorte que l’homme soit lui-même le principal Dieu qu’il est et qu’il s’est cherché et déjà trouvé en lui mais que des court-circuits dans son cheminement lui auraient tout simplement limité depuis le temps dit moderne. Je reviendrai la-dessus mais je voulais ouvrir cette brèche pour ne pas l’oublier un peu plus loin dans ce texte.
2- Ce sont les sciences et les technologies mais plus évidemment, la science. En effet, si d’un côté les hommes n’arrivaient pas à expliquer tout dans leur environnement, de l’autre côté par contre, plusieurs phénomènes, plusieurs manifestations trouveront des explications et ils seront répétés par l’entendement humain. De même, en expérimentant plusieurs espèces végétales par exemple, l’homme a su comment utiliser leurs effets dans la vraie vie. D’où les médicaments.
On peut citer à titre d’exemple le développement de la pharmacologie chez tous les peuple dont la médecine traditionnelle chinoise, la médecine traditionnelle africaine, les traditions amérindiennes sur l’utilisation des feuilles et des racines ainsi que des symboles liés à leur médecine.
Tout cela traduit une démarche commune de tous les peuples et qui ont tous connu le même parcours mais plus particulièrement, tous les peuples ont développé leurs croyances, leurs sciences, leurs philosophies.
Toutes les cultures montrent clairement que l’intelligence scientifique est commune à tous les peuples et à toutes les races humaines et à quelques questionnement chez les animaux.
3-La morale ou la philosophie quant à elle, elle est chez tous les peuples et dans toutes les cultures. Elle est sous formes de proverbes, sous formes de contes et d’histoires. Et elle se transmet d’une génération à l’autres constituant ainsi la base et les principaux piliers de la culture d’un peuple.
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