Enlightenment Now: l’argument en faveur de la raison, de la science, de l’humanisme et du progrès par Steven Pinker: Enlightenment Now: The Case for Reason, Science, Humanism, and Progress by Steven Pinker Hardcover


La bombe? La peste? Atout? Ne pas s’inquiéter; les choses s’améliorent. Donc écrit éternelle optimiste Pinker (Psychologie / Harvard Univ, Les meilleurs anges de notre nature: Pourquoi la violence A refusé, 2011, etc.). « Pourquoi devrais-je vivre? » Alors demandé à l’un des étudiants de l’auteur. « Expliquer le sens de la vie n’est pas la description de travail habituelle d’un professeur de cognitive la science », écrit-il, avant de tenter de répondre à cette même question d’une variété de positions, tout reposant sur l’hypothèse que la vie est mieux dotée de sens si seulement nous souviens-toi de nos idéaux des Lumières. Ces idéaux, «produits de la raison humaine», reposent sur … bien, la raison, et la science, la seconde le «raffinement de la raison pour comprendre le monde». Contre ce sont ce que Pinker caractérise comme des manifestations de la pensée délirante, y compris la foi religieuse et «l’analyse herméneutique des textes sacrés», la «politique étouffante la correction « sur le campus, la » catastrophe du postmodernisme « qui a dévasté humaniste pensée, et la « cognition protectrice de l’identité » qui a rendu le discours politique si apaisant

Les protestations de Pinker sont progressives, bien que les académiques orthodoxes le trouveront un apostat. Juste ainsi, son athéisme peut le mettre en compagnie de Christopher Hitchens et Sam Harris, mais il dirait sans doute que c’est la seule conclusion logique à venir, et Pascal parier être damné. Dans un texte long, bourré, impeccablement écrit, plein de petites choses intéressantes des neurosciences et d’autres disciplines, l’auteur examine les nombreuses façons dont Les idéaux des Lumières nous ont donné des vies que nos ancêtres envieraient même si la tristesse et le pessimisme sont l’ordre du jour – sur lequel il remarque judicieusement, « un minimum de l’anxiété peut être le prix que nous payons pour l’incertitude de la liberté. « Il y a du travail à faire, de bien sûr, de l’éducation des analphabètes et innombrables à prendre l’arsenal nucléaire du monde vers le bas à, idéalement, zéro, et beaucoup d’autre part. Pour ceux qui sont enclins à croire que la fin n’est pas proche et qui voudrait suivre la science récente, ce livre est un … bien, pas une aubaine, mais un cadeau tout de même.

The bomb? The plague? Trump? Not to worry; things are getting better. So writes eternal

optimist Pinker (Psychology/Harvard Univ.; The Better Angels of Our Nature: Why Violence

Has Declined, 2011, etc.). »Why should I live? » So asked one of the author’s students.

« Explaining the meaning of life is not the usual job description of a professor of cognitive

science, » he writes—before gamely proceeding to answer that very question from a variety of

stances, all resting on the assumption that life is best endowed with meaning if only we

remember our Enlightenment ideals. Those ideals, « products of human reason, » hinge on—

well, reason, and science, the latter the « refining of reason to understand the world. » Against

these are what Pinker characterizes as manifestations of delusional thinking, including

religious faith and the « hermeneutic parsing of sacred texts, » the « suffocating political

correctness » on campus, the « disaster of postmodernism » that has devastated humanistic

thought, and the « identity-protective cognition » that has made political discourse so soulkilling

Pinker’s protestations are progressive, though the academically orthodox will find him

an apostate. Just so, his atheism may put him in company with Christopher Hitchens and Sam

Harris, but he would doubtless say that it’s the only logical conclusion to come to, and Pascal’s

wager be damned. In a long, overstuffed, impeccably written text full of interesting tidbits

from neuroscience and other disciplines, the author examines the many ways in which

Enlightenment ideals have given us lives that our forebears would envy even if gloominess

and pessimism are the order of the day—on which he sensibly remarks, « a modicum of

anxiety may be the price we pay for the uncertainty of freedom. » There’s work to be done, of

course, from educating the illiterate and innumerate to taking the world’s nuclear arsenal down

to, ideally, zero, and much else besides. For those inclined to believe that the end is not nigh

and who would like to keep up with recent science, this book is a…well, not a godsend, but a

gift all the same.