Retournons nous un peu en arrière,
Juste vers quelques siècles en arrière
En Faisant deux pas de plus, voir demain
Retournons plus loin que maintenant et ici
Allons plus loin que maintenant
Descendons très bas, jusqu’au fond
Plus bas que le niveau des animaux
Ainsi, nous ne nous tromperons pas
Afin de comprendre la nature humaine
Que chacun pour soi soit la règle, la seule
Tout un chacun le droit pour un chez soi
À chacun ce qu’il a et rien que ce qu’il a
À chacun, tous, de se contenter de ce qu’il a
Que tout un chacun retourne chez lui d’ici
Allez chez soi très vite, vite à sa vraie terre
Et surtout, que chacun vive de ses seuls biens
De seulement et surtout, de ce qu’il a chez lui:
Si chacun restait chez lui
et vivait de ce qu’il avait
Il n’y aurait ni inférieur,
ni supérieur des humains
Ni dominé, ni dominant
ni toi, ni moi, ni lui, ni nous
malgré tout je ne suis
pas sûr que je dis vrai, je mens.
Il y a des niveaux et des mesures,
des raisons et des raisons comparées
Créées par Celui-ci, celui-là, à vrai dire,
nous nous les inventons tous
À partir de nos justification, nos déductions,
conclusion évidemment entre autre
Mais ici, l’animal, de par nos conceptions,
Il sont raisonnables même plus raisonnables
Si chacun se nourrissait de ce
qu’il avait de sa terre natale
De la cueillette, ou la chasse
et la pêche disons très naturelle
Il n’y aurait ni pollution, ni
réchauffement ni effet de serre
Aucun espèce aurait été menacé
et la terre serait notre paradis
L’animal marque son territoire,
en troupeau, la bande et la meute
Le mâle et la femelle dominante
se déplacent et chassent pour vivre
C’est ainsi qu’ils se différencient
des hommes territoriaux et bornés
Puisque les hommes s’approprient,
accumulent, gaspillent et jettent
Isolé à sa terre natale, à l’état de nature,
dans les cavernes pour être précis
Vivraient encore les humains moins bien
que des bêtes car cannibale étant
Se nourrissant de ce qui serait disponible,
et vite épuiseraient les ressources
tandis que copulant et se tenant ensemble
ils seraient déjà incestueux et consanguins
Si chacun restait et vivait chez lui
Il n’y aurait aucune différence connue
Ni civilisé, ni progrès ou comparaison
peu à peu certains disparaitraient vite
En fait, moins d’un instant tous ensembles
Atlantide, voir plus tôt île de Pâques
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