
Dieu
Voici un sujet qui devra intéresser tous les gouvernements des pays occidentaux en commençant par la nouvelle administration de Donald Trump mais également le gouvernement canadien surtout avec la politique déficitaire du Premier Ministre Justin Trudeau.
En effet, ces deux gouvernement ont quelque chose de commun, c’est d’améliorer les conditions de vie des classes moyennes de ces deux pays. Cependant dans l’ensemble ce sont tous les pays occidentaux qui sont au prime abord qui devaient s’intéresser à cet article puisque tous ces pays ont les mêmes préoccupations et se sont tous enlisés dans des politiques d’expatriation de leurs productions à travers la sous-traitance.
Évidemment, à l’heure où le monde semble s’orienter vers de grands changements économiques et politiques, vu que le nouveau président des États-Unis se propose de redéfinir la politique américaine en matière de production de bien et des services, selon certaines caractéristiques isolationnistes et du nationalisme de la consommation locale les chefs d’entreprise, les juges, les avocats du droit du travail, les centrales syndicales devaient se sentir concernés par ces articles que j’entends développer mes réflexions et mes idées sur la sous-traitance comme principale responsable d’un ensemble de détériorations de la qualité et des conditions de vie des travailleurs depuis les cinquante dernières années.
Je souhaite simplement que tout le monde trouve son compte dans ces articles qui traitent de la sous-traitance mais surtout, je souhaite que l’on puisse trouver des solutions à un ensemble de problèmes qui affectent nos sociétés nationales.
En fait, comme je le fais habituellement, je donne des clés pour ouvrir des portes et des barrières que l’on trouve très souvent impossibles à ouvrir. Voilà pourquoi, j’espère que plusieurs travailleurs trouveront des solutions à plusieurs questions qu’ils se posent surtout lorsqu’ils se sentent abusés par un système qui les échappe mais également qui les maintienne dans une exploitation extrême que ni la justice, ni les gouvernements n’ont jamais essayé de mettre fin.
Bien entendu, personne n’a jamais osé réfléchir sur les externalités que produisent la sous-traitance à la fois, en tant que système complètement autonome du capitalisme et du libéralisme lui-même et également en tant que sous-système du capitalisme et du libéralisme. D’ailleurs, personne non plus n’a osé critiquer le système de la gestion des sous-traitances parce qu’on a toujours estimé qu’il s’agissait d’un certain ordre naturel du capitalisme et du libéralisme.

Dieu
Aucune loi, aucun règlement sur les droits des travailleurs n’ont jamais été envisagés pour améliorer les conditions de vie et les conditions de travail des travailleurs. Mais c’est durant cette longue période des cinquante dernières années, en laissant faire les entreprises-sous-traitantes à leur guise, que ces entreprises ont de façon systématique contribué à détériorer les diverses conditions de travail dans les pays développés mais également dans le pays sous-développés puisque les pays sous-développés sont en quelque sorte des prolongements de ce qu’est l’exploitation qui se fait dans les pays développés.
Naturellement, l’exportation de la misère par l’extraction des emplois des pays développés vers les pays du Sud était considérée comme du transfert du développement ce qui rendait les entrepreneurs moins responsables et moins coupables d’autant qu’on faisait croire que cela avait pour objectif d’améliorer la vie des uns et des autres.
Néanmoins, notre constat actuel, ce même constat que l’on aurait dû faire déjà bien longtemps également, c’est que la sous-traitance n’a jamais été bien règlementée en matière de droit des travailleurs plus particulièrement matière du point de vue des congédiements et du système intrinsèque de harcèlement qui le structure. Comme conséquence, les entreprises sous-traitantes ne cessent de congédier comme elles veulent tout en pratiquant un harcèlement systématique.
Apparemment, ce n’était par une trop grande préoccupation pour les occidentaux de se pencher sur les pratiques internes des entreprises sous-traitantes bien connues maintenant sous le vocable des agences d’emplois, parce que les nationaux n’étaient pas affectés par la qualité des emplois que ces agences offraient sur le marché du travail. Mais, de plus en plus, on se rend compte que toutes les catégories ethniques son concernées par les types d’emplois que les agences offrent aux travailleurs.
Les congédiements ne sont pas reconnus comme de vrais congédiements, alors que le harcèlement quant à lui, il n’est même pas pris en compte ni par les tribunaux, ni par les entreprises sous-traitantes non plus tandis dans la pratique, ce sont les deux aspects d’une extrême exploitation qui fait l’affaire des gouvernements parce que les fonds des assurances de chômage ne sont pas affectés et, pour les entreprises, cela n’existe pas tout simplement.
Les pays occidentaux accusent un véritable retard en matière des normes et du droit du travail en ce qui concerne la violation systémique des droits des travailleurs dans les entreprises de sous-traitance. En effet, depuis plus de quatre à cinq décennies, les grandes entreprises, dans le but de réduire leurs coûts de production ainsi que ceux des charges sociales qui s’y rattachent, ont recouru à la sous-traitance pour mieux maximiser leur leurs profits.
Or, en recourant à la sous-traitance, elles ont déplacé et transféré du coup leurs responsabilités sociales, économiques et culturelles aux citoyens eux-mêmes. Comme conséquence, de cette irresponsabilité des entreprises, ce sont la qualité de vie des travailleurs, les conditions de vie et les conditions de travail des travailleurs qui se retrouvent également détériorées.
Ces entreprises détruisent également par ce fait, un grand nombre de liens qui constituaient les bases et les fondements du vivre ensemble de nos sociétés actuelles. À titre d’exemple, il y a le repli sur soi de certains groupes ethniques nationaux sur eux-mêmes que plusieurs s’accordent pour appeler le racisme, la xénophobie ou encore la montée de l’extrémisme et du suprématismes blanc; il y a les luttes raciales où des groupes de minorités subissent continuellement de différents types de préjugés c’est le cas pour la France, la Belgique, la Suisse, l’Autriche, la Hongrie, le Maroc, l’Arabie Saoudite, les États-Unis, le Myanmar etc.
Évidemment, les organisations syndicales n’ont pas su également s’adapter facilement aux nouvelles réalités de cette économique néolibérale et ultralibérale qui a engendré le recours à la sous-traitance des systèmes de production traditionnelle. Pourtant, si les leaders syndicaux et les organisations syndicales avaient compris que la sous-traitance étaient en train de les saper systématiquement en procédant à leurs extinctions purement et simplement, en leur enlevant l’un des éléments les plus essentiels à leur existence ou leur fondement même, aujourd’hui plus de cinq décennies plus tard, nous ne serions pas rendus à ce stade ultime de l’ultra et du néolibéralisme inhumain que l’on vit actuellement.

Dieu
La sous-traitance a complètement détruit le pouvoir que les travailleurs avaient pour forcer les entreprises et les patrons d’entreprises à négocier certains compromis social. Je veux parler du droit à l’ancienneté. En effet, avec l’introduction de la sous-traitance comme déplacement de la production et réduction systématique des charges sociales, tous les travailleurs ont perdu leurs droits d’ancienneté.
Mais également, ils sont devenus dépendants, misérables et extrêmement fragilisés par cette économie sous-traitées. Puisque, et du côté des gouvernements et du côté des centrales syndicales, il n’y a aucune préoccupation sur le sort et les conditions de vie des travailleurs au sein des entreprises de sous-traitance. De telle sorte que plusieurs centrales syndicales sont quasiment devenues de véritables firmes privées compte tenu de leurs pouvoir et de leurs poids économiques et financiers où seules quelques minorités de gestionnaires de ces centrales syndicales profitent très largement des fonds détenus par ces centrales syndicales.
Les centrales syndicales ou du moins, les centrales syndicales mafieuses ne se soucient plus de leurs membres puisqu’elles laissent faire les entreprises de sous-traitance généralement connues sous le nom d’agence de placement. Or, c’est ce laisser-aller qui fait en sorte que celles-ci jouissent d’une totale liberté en tassant de côté toutes les organisations syndicales qui, sans le dire se déclarent vaincues surtout lorsque leurs membres les demandent d’intervenir dans les cas de conflits, d’abus, de maltraitance et de harcèlement psychologique.
Bien entendu, il y a un grand nombre d’agence de placements qui ont été ou sont créées et financées par certaines centrales syndicales créant ainsi, une trop grande promiscuité entre les centrales syndicales et les agences de placements dont on peut facilement reconnaitre comme des connivences, et des complicités entre ces agences et ces centrales syndicales pour exploiter outrancièrement les pauvres travailleurs.
Devant ces liens qui semblent rapprocher les centrales syndicales et les agences de placement ou les entreprises sous-traitantes, on pourrait se demander si les centrales syndicales se souviennent encore de leurs véritables objectifs, de leurs buts principaux et surtout, de leurs véritables rôles du côté et avec les travailleurs qu’ils sont supposés à la fois représenter et défendre plus particulièrement, lorsqu’elles se transforment en partenaires d’affaires et bailleurs de fonds.
Il doit y avoir des questions à répondre par ces centrales syndicales et ce sont les travailleurs qui doivent remettent en question leurs centrales syndicales qui ont cessé de les défendre puisque les dirigeants syndicaux ne sont plus connectés aves les membres de leurs organisations.
Par ailleurs, du côté des gouvernements, des législateurs et des tribunaux du travail, on peut constater le même abandon de la cause et des conditions de travail des ouvriers et des travailleurs dans le milieu de la sous-traitance. Il n’existe aucune structure étatique qui ose remettre en question la précarité et la vulnérabilité des travailleurs vis-à-vis des agences et des entreprises sous-traitantes. Mais surtout, il n’existe aucune loi, aucune norme, aucun règlement qui soient mis en place pour protéger la stabilité d’emplois, ou tout simplement les anciennetés des travailleurs auprès des entreprises sous-traitantes.
Voilà pourquoi, au bout du compte, ce sont les droits des travailleurs qui sont violés quotidiennement alors mêmes que ces travailleurs sont harcelés systématiquement à partir d’un ensemble de mécanismes, de structures et des stratagèmes sophistiqués et complexes mis en place par ces entreprises de sous-traitance afin de ne pas répondre à leurs obligations d’employeurs.
C’est ainsi, en milieu de travail, dans la réalité quotidienne de travail du travailleur ou de l’ouvrier, ou du journalier, ce que l’on constate c’est la désolation du travailleurs, c’est son harcèlement systématique et systémique car, on le congédie mais on ne le congédie pas vraiment; On le déplace, de même on ne le déplace pas vraiment car c’est le client qui ne veut plus de lui tandis que jusque-là ce même travailleur a été très efficace, assez professionnel dans l’ensemble de ses tâches et de ses fonctions.
Comme on le dit souvent, trouver donc l’erreur qui pourrait pousser son employeur à le congédier ou également le client de son employeur à ne plus vouloir de lui. Du matin au lendemain, le même travailleur devient mauvais pour son employeur, le client de son employeur. À chacun de prendre le temps de bien réfléchir à ces questions et de jauger également de la pertinence de ces congédiements qui affectent directement et émotivement ces valeureux travailleurs qui, soit qu’ils se sont déjà habitués et identifiés à ces entreprises, soit qu’ils ont déjà accumulé un grand nombre d’années d’expérience au sein de cette même entreprise.
Dans tous les cas, ce sont des travailleurs qui se retrouvent à être pénalisés pour des raisons sophistiquées et complexes, disions-nous de préférence que son employeur ou le client de son employeur peuvent décider volontairement de les congédier quand ils veulent et cela sans se soucier des conséquences légales qu’ils sont pourtant fautifs. Comme je le dis, c’est donc souvent au nom du client que l’entreprise sous-traitante procède pour rendre les conditions de travail instables et irritantes pour les travailleurs et les ouvriers.
Et, qui dit des conditions de travail instables pour le travailleur, dit également des perturbations et des instabilités de ses émotions et de sa propre vie personnelle et familiale. Autrement dit, à chaque bouleversement dans la vie professionnel d’un travailleur, il s’en suit de plus fortes perturbations dans la vie sociale, économique et culturelle du travailleur: dépression, stress, suicide, folie, divorce, séparation, itinérance, crimes et délinquances.

Dieu
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