Dieu tout-puissant, quand mon cœur considère,
Tous l’univers créé par ton pouvoir :
le ciel d’azur, les éclairs, le tonnerre,
Le clair matin ou les ombres du soir,
De tout mon être alors s’élève un chant : )
 » Dieu tout-puissant que tu es grand !  » ) bis

Quand par les bois, où la forêt profonde,
J’erre et j’entends tous oiseaux chanter,
Quand sur les monts, la source avec son onde
Livre au zéphyr, son chant doux et léger.
Mon cœur heureux, s’écrie à chaque instant : )
 » O Dieu d’Amour que tu es grand !  » ) bis

Mais quand je songe, ô sublime mystère,
Qu’un Dieu si grand à pu penser à moi,
Que son cher Fils est devenu mon frère
Et que je suis l’héritier du grand Roi.
Alors mon coeur redit la nuit le jour : )
« Que tu es bon,ô Dieu d’Amour !  » ) bis

Quand mon sauveur éclatant de lumière,
Se lèvera de son trône éternel,
Et que laissant les douleurs de la terre,
Je pourrais voir les splendeurs de son ciel.
Je redirai dans son divin séjour : )
« Rien n’est plus grand que ton Amour !  » ) bis

Je publie ce chant en Honneur du Vénérable Père et Frère NèNè qui avait son sanctum au pied du stade Sylvio Cator. J’avais découvert les pouvoirs de ce chant grâce à ce Grand Maître. Paix à son Âme et que sa grande générosité m’accompagne pour toujours. Je remercie tous mes amis qui m’avaient permis de Découvrir le sanctum de Père Nènè mais aussi les loges du Grand Orient et surtout la grande loge d’Haïti dont Père Nènè avait été le pionner à reconnaitre la place des femmes dans cette loge.