La dernière peur, la fille de l’Est


Le maître des idées
capter l’énergie du présent

Elle arrive de loin, au loin c’était l’Est

L’Est c’était ici, et ici c’était ici l’Ouest

Juste une pause, un arrêt de cigarette

Là qu’elle prenait ses emails messages

L’endroit désigné pour faire sa victime

Elle avait le regard et les beautés à elle

Un peu d’histoire un peu de poésie, l’Est

Le glas de la Volga  la pénurie du vodka

Les histoires vécues sont d’autres causes

Quand bien même telle une autre facette

Je croyais qu’il s’agissait de mon tour

Juste entreprendre la démarche et dire

J’aime la fille de l’Est d’être à mes côtés

Me partageant passion, sourire et passion

Hélas pas assez de beurre, trop de beurre

Entre l’histoire vécue et la rage, les refoulées

Les espoirs naissent car l’imagination s’active

Un tour de piste au belvédère pour le spectacle

Les corps se positionnent les quelques touchers

Elle a aimé, la fille de l’Est, l’expérience agréable

Tout semblait alors bien aller à mal comprendre

Évidemment, elle est sensible, sensible et fragile

Fragile elle, trop fragile, cela  c’est de la frigidité

Pourtant, pour elle, pas de réticence ni problème

C’est là que nous sommes les deuxièmes victimes

Oui, elle a été l’une parmi des milliers de victimes

Ça lui a laissé des traces et des séquelles si visibles

Elle ne s’est jamais guéries quoiqu’il en soit visible

Chacune des affections est une agression ressentie

Et les invitations sont le contrôle avoir possession

Encore une autre  qui ne dure qu’une seule semaine

Ben faisait trop de vitesse avec elle il accélérait trop

Il agressait, j’ai eu peur, j’ai choisi d’abandonner

Mes dernières peurs c’était mon impatience, confus

La dernière peur de toutes les peurs c’est la fille de l’Est

Hermann Cebert