Philosophie et Politique, Poésie et Société Vers les cimes élevés des prodondeurs, la fille prisonnière Publié par Hermann H Cebert le 10 juillet 2015 Vers les cimes élevés, vers les montagnes au de-là du connu Aujourd’hui, aujourd’hui c’est demain, très loin la montagne Dans les grottes, dans les cavités, je m’en vais gravir l’air sec Par suffocation et dans le froid ou le chaud, je me pousserai Je m’efforcerai, je me battrai et là, je rebrousserai le chemin Vers les profondeurs, dans les abîmes, loin soleil et lumière Dans les ombres profondes, sous les eaux marines et seul là Dans les eaux fumées, parmi les nouveaux êtres, l’obscurité Je respirerai à plein les poumons, bouffée par bouffée, libre Alors, je lâcherai définitivement toute ma concentration ouf! Je reviendrai, au soleil levant, la nuit couchant, peu importe La destinée ne m’avait pas donné rendez-vous, hasard-choix Promesse d’une croix triangle, quelle félicitation facilitée, loin Par l’autre rive, les regards se recroiseront les peaux frémiront C’est le destin, de la destinée, et la liberté se fera emprisonner Je n’ai pas été dans les hauteurs ni descendre aux profondeurs À l’île tropicale de par nos joies si intenses on oublie de pleurer Bien sûr nous pleurons faim mais, nos sueurs sont nos larmes Je vous imagine pleurer, vos larmes se durcissent par le froid Et alors c’est alors que de part les parcours abordés on se dira Hermann Cebert Partager :TweetImprimerWhatsAppE-mailPartager sur TumblrWordPress:J’aime chargement… Articles similaires
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