Les limites de la démocratie en Occident c'est que cette démocratie a peur de son ombre lorsqu'elle est en contradiction avec elle-même. Alors, elle devient violente, méchante, criminelle
L’ex président Jean-Bertrand Aristide et Maryse narcisse auraient vendus tous les postes électifs du Parti Fanmi Lavalas à des gens non militants afin de constituer des fonds pour investir aux États-Unis
Tout le monde se souvient de Gladys Lauture et de Sò Àn alias Annette Auguste comme les deux femmes qui contrôlaient le pouvoir Lavalas et des amies intimes de Jean-Bertrand Aristide l’ex président de Haïti et pour qui plusieurs militants politique des organisations populaires ont perdu leurs vies afin de restaurer la démocratie en Haïti avec le retour de ce chef du mouvement lavalas.
Ces deux femmes avaient été les femmes de fer du régime d’Aristide et elles avaient tous les pouvoirs sur les affaires du pays. Si madame lauture s’est hibernée depuis que sa classe sociale a pris le pouvoir avec Joseph Michel Martelly, SÒ Àn quant à elle vient de faire son grand coup d’éclat en se présentant comme candidate au Sénat sous la bannière du Parti des Tèt kale du président Martelly aux côtés de Sophia Martelly, la femme du président de Haïti.
Si pour certain cette candidature apparaît comme une honte et une giffle au secteur lavalas néanmoins, pour ceux qui connaissent et qui ont suivi le parcours de cette femme en politique haïtienne depuis le régime des lavalas jusqu’au régime des bandit légal, il n’y a rien d’étonnant même lorsque démagogique celle-ci affirme « puisqu’on ne veut pas de moi au parti Fanmi lavalas, je présente ma candidature sous la bannière du Parti qui m’accepte, elle veut parler du parti tèt kale de michel Martelly ».
En effet, Sò Àn a toujours profité du régime Martelly et plusieurs langues disent qu’elle a toujours placé quelqu’un au sein de tous les cabinets ministériels du gouvernement de Martelly et qu’elle recevait même des salaires dans presque tous les ministères et qu’elle est l’une des prêtresses vodoues qui fait de la magie pour la famille présidentielle sans oublier le nombre élevé de militants politiques qu’elle a livrés au rémime en place.
Par ailleurs, pour être plus analytique, cette candidature de l’ancienne femme de fer des régimes-lavalas-tèt kale-macoutes montrent clairement comment les forces rétrogrades du pays et de l’international a la capacité de s’infiltrer dans les mouvements populaires pour les dérouter et maintenir le statu quo dans le pays. Sò Àn est donc cet exemple d’agents dormants au sein du scteur démocratique et tout bon leader du mouvement populaire doit faire l’effort de les démasquer afin de permettre aux masses populaires d’amener de vrais changements dans le pays.
Également, ce choix actuel de celle qui prétendait s’enrichir avec l’argent de son frère en héritage, le grand footballeur et Étoile Nationale Arsène Auguste, montre en quoi le jugement de Jean-Bertrand Aristide a toujours été médiocre en ce qui concerne le choix de ses conseillers politiques dont Sò Àn en était une très grande et nous pouvons imaginer quel type de conseils que cette dernière a pu donner à celui que plusieurs affirment avoir vendu tous les postes électifs de son Parti Fanmi Lavalas aux plus offrant afin de pouvoir aller investir dans les entreprises nord-américaine.
Même si nous souhaitons douter de toutes ces affirmations, cependant avec ce qui est arrivé à Civil René, le chef des JPP (la Jeunesse pour un Pouvoir Populaire ci-devant Jan l Pase l Pase advienne que pourra), Jean-Bertrand Aristide semble vouloir dire aux militants des organisations populaires qui vont avaler le vent chaque jour à sa Fondation du Docteur jean-Bertrand Aristide qu’ils n’ont aucun intérêt à venir chaque jour se militer au sein de fanmi Lavalas.
Aristide et son parti se détache du peuple, le peuple doit maintenant se détacher de Aristide et de son Parti qui devient le parti de sa femme et de toutes ses femmes. Ainsi fait, il réalise les promesses des forces rétrogrades qui paralysent et bloquent le pays. Il a gagné, en continuant de diviser et de subdiviser les secteurs progressistes du pays. On l’a vu avec les Moïse Jean-Charles, les fcnd.
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