Thomas Piketty fait fureur aux États-Unis : son livre Le Capital au XXIe siècle


 

Le professeur de l'École d'économie de Paris Thomas... (Photo AFP)

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Lisez également avant la sortie de ce livre et publié sur le blog le vrai discopurs actuel:

Comment comprendre la CRISE Actuelle de l’Europe et de la Grèce

Publié le 5 novembre 2011Mis à jour le 13 novembre 2011

« Le Cartel des Banques a organisé toutes les crises économiques du monde ! »

Publié le 13 avril 2013

Comment comprendre le système économique et financier mondial: comment faire une analyse

Publié le 29 janvier 2012Mis à jour le 12 janvier 2014

Le capital au 21e siècle

Thomas Piketty

Editions du Seuil – Septembre 2013

Sommaire

Remerciements

Introduction

Première partie. Revenu et capital

Chapitre 1. Revenu et production

Chapitre 2. La croissance: illusions et réalités

Seconde partie. La dynamique du rapport capital/revenu

Chapitre 3. Les métamorphoses du capital

Chapitre 4. De la Vieille Europe au Nouveau monde

Chapitre 5. Le rapport capital/revenu dans le long terme

Chapitre 6. Le partage capital-travail au 21

e siècle

Troisième partie. La structure des inégalités

Chapitre 7. Inégalités et concentration: premiers repères

Chapitre 8. Les deux mondes

Chapitre 9. L’inégalité des revenus du travail

Chapitre 10. L’inégalité de la propriété du capital

Chapitre 11. Mérite et héritage dans le long terme

Chapitre 12. L’inégalité mondiale des patrimoines au 21

e siècle

Quatrième partie. Réguler le capital au 21

e siècle

Chapitre 13. Un Etat social pour le 21

e siècle

Chapitre 14. Repenser l’impôt progressif sur le revenu

Chapitre 15. Un impôt mondial sur le capital

Chapitre 16. La question de la dette publique

Conclusion

Table des matières

Liste des tableaux et graphiques

Autres ouvrages du même auteur

Le capital au 21

e siècle

Table des matières

Remerciements

Introduction

Un débat sans source?

Malthus, Young et la Révolution française

Ricardo: le principe de rareté

Marx: le principe d’accumulation infinie

De Marx à Kuznets: de l’apocalypse au conte de fées

La courbe de Kuznets : une bonne nouvelle au moment de la guerre froide

Remettre la question de la répartition au coeur de l’analyse économique

Les sources utilisées dans ce livre

Les principaux résultats obtenus dans ce livre

Forces de convergence, forces de divergence

La force de divergence fondamentale: r > g

Le cadre géographique et historique

Le cadre conceptuel et théorique

Plan du livre

Première partie. Revenu et capital

Chapitre 1. Revenu et production

Le partage capital-travail dans le long terme: pas si stable

La notion de revenu national

Qu’est-ce que le capital?

Capital et patrimoine

Le rapport capital/revenu

La première loi fondamentale du capitalisme: α = r

x β

La comptabilité nationale: une construction sociale en devenir

La répartition mondiale de la production

Des blocs continentaux aux blocs régionaux

L’inégalité mondiale : de 150 euros par mois à 3 000 euros par mois

La répartition mondiale du revenu : plus inégale que la production

Quelles forces permettent la convergence entre pays?

Chapitre 2. La croissance: illusions et réalités

La croissance sur très longue période

La loi de la croissance cumulée

Les étapes de la croissance démographique

Une croissance démographique négative ?

La croissance, source d’égalisation des destins

Les étapes de la croissance économique

Que signifie un pouvoir d’achat multiplié par dix?

La croissance: une diversification des modes de vie

La fin de la croissance?

Avec 1% de croissance annuelle, une société se renouvelle profondément

La postérité des Trente Glorieuses: destins croisés transatlantiques

La double courbe en cloche de la croissance mondiale

La question de l’inflation

La grande stabilité monétaire des 18

e-19e siècles

Le sens de l’argent dans le roman classique

La fin des repères monétaires au 20

e siècle

Seconde partie. La dynamique du rapport capital/revenu

Chapitre 3. Les métamorphoses du capital

La nature de la fortune: de la littérature à la réalité

Les métamorphoses du capital au Royaume-Uni et en France

Grandeur et chute des capitaux étrangers

Revenus et patrimoines : quelques ordres de grandeur

Richesse publique, richesse privée

La fortune publique dans l’histoire

Le Royaume-Uni: dette publique et renforcement du capital privé

A qui profite la dette publique ?

Les aléas de l’équivalence ricardienne

La France : un capitalisme sans capitalistes dans l’après-guerre

Chapitre 4. De la Vieille Europe au Nouveau monde

L’Allemagne: capitalisme rhénan et propriété sociale

Les chocs du capital au 20

e siècle

Le capital en Amérique: plus stable qu’en Europe

Le Nouveau monde et les capitaux étrangers

Le Canada: longtemps possédé par la Couronne

Nouveau monde et ancien monde: le poids de l’esclavage

Capital négrier et capital humain

Chapitre 5. Le rapport capital/revenu dans le long terme

La seconde loi fondamentale du capitalisme: β = s/g

Une loi de long terme

Le retour du capital dans les pays riches depuis les années 1970

Au-delà des bulles: croissance faible, épargne forte

Les deux composantes de l’épargne privée

Biens durables et objets de valeur

Le capital privé exprimé en années de revenu disponible

La question des fondations et des autres détenteurs

La privatisation du patrimoine dans les pays riches

La remontée historique du prix des actifs

Capital national et actifs étrangers dans les pays riches

A quel niveau s’établira le rapport capital/revenu mondial au 21

e siècle?

Le mystère de la valeur des terres

Chapitre 6. Le partage capital-travail au 21

e siècle

Du rapport capital/revenu au partage capital-travail

Les flux: plus difficiles à estimer que les stocks

La notion de rendement pur du capital

Le rendement du capital dans l’histoire

Le rendement du capital au début du 21

e siècle

Actifs réels et actifs nominaux

A quoi sert le capital?

La notion de productivité marginale du capital

Trop de capital tue le capital

Au-delà de Cobb-Douglas: la question de la stabilité du partage capital-travail

La substitution capital-travail au 21

e siècle: une élasticité supérieure à un

Les sociétés agricoles traditionnelles: une élasticité inférieure à un

Le capital humain est-il une illusion?

Les mouvements du partage capital-travail dans le moyen terme

Retour à Marx: croissance zéro et baisse tendancielle du taux de profit

Au-delà des « deux Cambridge »

Le retour du capital en régime de croissance faible

Les caprices de la technologie

Troisième partie. La structure des inégalités

Chapitre 7. Inégalités et concentration: premiers repères

Le discours de Vautrin

La question centrale: travail ou héritage?

Inégalités face au travail, inégalités face au capital

Le capital: toujours plus inégalement réparti que le travail

Inégalités et concentration: quelques ordres de grandeur

Classes populaires, classes moyennes, classes supérieures

La guerre des classes, ou la guerre des centiles?

Les inégalités face au travail: des inégalités apaisées?

Les inégalités face au capital: des inégalités extrêmes

L’innovation majeure du 20

e siècle: la classe moyenne patrimoniale

L’inégalité totale des revenus: les deux mondes

Les problèmes posés par les indicateurs synthétiques

Le voile pudique des publications officielles

Retour aux « tables sociales » et à l’arithmétique politique

Chapitre 8. Les deux mondes

Un cas simple: la réduction des inégalités en France au 20

e siècle

L’histoire des inégalités: une histoire politique et chaotique

De la « société de rentiers » à la « société de cadres »

Les différents mondes du décile supérieur

Les limites des déclarations de revenus

Le chaos de l’entre-deux-guerres

Le choc des temporalités

La hausse des inégalités françaises depuis les années 1980-1990

Un cas plus complexe: la transformation des inégalités aux Etats-Unis

L’explosion des inégalités américaines depuis les années 1970-1980

La hausse des inégalités a-t-elle causé la crise financière?

La montée des super-salaires

La cohabitation du centile supérieur

Chapitre 9. L’inégalité des revenus du travail

L’inégalité des revenus du travail: une course entre éducation et technologie?

Les limites du modèle théorique: le rôle des institutions

Grilles salariales et salaire minimum

Comment expliquer l’explosion des inégalités américaines?

La montée des super-cadres: un phénomène anglo-saxon

Le monde du millime supérieur

L’Europe: plus inégalitaire que le Nouveau monde à la Belle Epoque

Les inégalités dans les pays émergents: plus faibles qu’aux Etats-Unis

L’illusion de la productivité marginale

Le décrochage des super-cadres: une puissante force de divergence

Chapitre 10. L’inégalité de la propriété du capital

L’hyper-concentration patrimoniale: Europe et Amérique

La France: un observatoire des patrimoines

Les métamorphoses d’une société patrimoniale

L’inégalité du capital dans l’Europe de la Belle Epoque

L’émergence de la classe moyenne patrimoniale

L’inégalité du capital en Amérique

La mécanique de la divergence patrimoniale : r versus g

Pourquoi le rendement du capital est-il supérieur au taux de croissance?

La question de la préférence pour le présent

Existe-t-il une répartition d’équilibre ?

Le Code civil et l’illusion de la Révolution française

Pareto et l’illusion de la stabilité des inégalités

Pourquoi l’inégalité patrimoniale du passé ne s’est-elle pas reconstituée ?

Les éléments d’explication: le temps, l’impôt, et la croissance

Le 21

e siècle sera-t-il encore plus inégalitaire que le 19e siècle?

Chapitre 11. Mérite et héritage dans le long terme

L’évolution du flux successoral sur longue période

Flux fiscal et flux économique

Les trois forces: l’illusion de la fin de l’héritage

La mortalité sur longue période

La richesse vieillit avec la population: l’effet μ

x m

Richesse des morts, richesse des vivants

Quinquagénaires et octogénaires : âge et fortune à la Belle Epoque

Le rajeunissement des patrimoines par les guerres

Comment évoluera le flux successoral au 21

e siècle?

Du flux successoral annuel au stock de patrimoine hérité

Retour au discours de Vautrin

Le dilemme de Rastignac

Arithmétique élémentaire des rentiers et des cadres

La société patrimoniale classique: le monde de Balzac et Jane Austen

L’inégalité patrimoniale extrême, condition de la civilisation dans une société pauvre?

L’extrémisme méritocratique dans les sociétés riches

La société des petits rentiers

Le rentier, ennemi de la démocratie

Le retour de l’héritage: un phénomène européen, puis mondial?

Chapitre 12. L’inégalité mondiale des patrimoines au 21

e siècle

L’inégalité des rendements du capital

L’évolution des classements mondiaux de fortunes

Des classements de milliardaires aux « rapports mondiaux sur la fortune »

Héritiers et entrepreneurs dans les classements de fortunes

La hiérarchie morale de la fortune

Le rendement pur des dotations universitaires

Capital et économies d’échelle

Quel est l’effet de l’inflation sur l’inégalité des rendements du capital?

Le rendement des fonds souverains: capital et politique

Le monde sera-t-il possédé par les fonds pétroliers?

Le monde sera-t-il possédé par la Chine?

Divergence internationale, divergence oligarchique

Les pays riches sont-ils si pauvres?

Quatrième partie. Réguler le capital au 21e siècle

Chapitre 13. Un Etat social pour le 21

e siècle

La crise de 2008 et la question du retour de l’Etat

La construction d’un Etat social au 20

e siècle

Les formes de l’Etat social

La redistribution moderne: une logique de droits

Moderniser l’Etat social, et non le démanteler

Les institutions éducatives permettent-elles la mobilité sociale ?

Méritocratie et oligarchie à l’université

L’avenir des retraites: répartition et croissance faible

La question de l’Etat social dans les pays pauvres et émergents

Chapitre 14. Repenser l’impôt progressif sur le revenu

La redistribution moderne: la question de la progressivité fiscale

L’impôt progressif: un rôle localisé mais essentiel

L’impôt progressif au 20

e siècle: l’éphémère produit du chaos

La question de l’impôt progressif sous la Troisième République

L’impôt confiscatoire sur les revenus excessifs: une invention américaine

L’explosion des salaires des cadres dirigeants: le rôle de la fiscalité

Identités nationales et performance économique

Repenser la question du taux marginal supérieur

Chapitre 15. Un impôt mondial sur le capital

L’impôt mondial sur le capital: une utopie utile

Un objectif de transparence démocratique et financière

Une solution simple: les transmissions automatiques d’informations bancaires

A quoi sert l’impôt sur le capital ?

Logique contributive, logique incitative

Ebauche d’un impôt européen sur la fortune

L’impôt sur le capital dans l’histoire

Les régulations de substitution : protectionnisme et contrôle des capitaux

Le mystère de la régulation chinoise du capital

La question de la redistribution du capital pétrolier

La redistribution par l’immigration

Chapitre 16. La question de la dette publique

Réduire la dette publique: impôt sur le capital, inflation ou austérité

L’inflation permet-elle de redistribuer les richesses?

Que font les banques centrales?

Création monétaire et capital national

La crise chypriote: quand l’impôt sur le capital rejoint la régulation bancaire

L’euro: une monnaie sans Etat pour le 21

e siècle?

La question de l’unification européenne

Puissance publique et accumulation du capital au 21

e siècle

Juridisme et politique

Réchauffement climatique et capital public

Transparence économique et contrôle démocratique du capital

Conclusion

La contradiction centrale du capitalisme: r > g

Pour une économie politique et historique

Le jeu des plus pauvres

Table des matières

Liste des tableaux et graphiques

Autres ouvrages du même auteur

 

 

Le professeur de l’École d’économie de Paris Thomas Piketty fait fureur aux États-Unis, où il est qualifié de «superstar intellectuelle» et de «rock star de l’économie». Il faut dire que son livre Le Capital au XXIe siècle porte sur un sujet qui préoccupe plusieurs Américains: les inégalités

Richard Hétu Collaboration spécialeLa Presse

(New York) Il est français, économiste et, selon certains de ses critiques, marxiste. Et pourtant, le pavé de 685 pages qu’il a fait paraître sous le titre Le Capital au XXIe siècle trône depuis mardi dernier au sommet de la liste des best-sellers de la version américaine d’Amazon.

Il fait bon être Thomas Piketty ces jours-ci. À la veille de son 43e anniversaire de naissance, le professeur de l’École d’économie de Paris fait fureur aux États-Unis, où il est qualifié de «superstar intellectuelle» et de «rock star de l’économie». Invité à la Maison-Blanche, au FMI et à donner des conférences, sollicité par les médias, il connaît un succès qui pourrait avoir au moins des répercussions sur les débats politiques américains à défaut d’entraîner des changements concrets.

Il faut dire que Le Capital au XXIe siècle porte sur un sujet qui préoccupe plusieurs Américains: les inégalités. Publié en France l’an dernier aux éditions du Seuil, l’ouvrage n’a rien d’un Harry Potter. Il présente des données historiques sur la répartition des revenus et des patrimoines dans plus de 20 pays. Et il dénonce la concentration actuelle des richesses au sein d’une élite qui gagne davantage de son patrimoine que de son travail.

Selon Piketty, cette tendance risque de s’accentuer et de creuser encore davantage les inégalités en raison d’un rendement supérieur du capital au taux de croissance de l’économie. Pour remédier à une économie dominée par les héritiers de grandes fortunes comme au XIXe siècle, l’auteur propose d’instaurer une taxation progressive des patrimoines, mondiale si possible.

 

Paul Krugman, Prix Nobel 2008 d’économie, est l’un des plus importants et enthousiastes promoteurs américains de Thomas Piketty, qui a écrit selon lui «le livre le plus important de l’année – et peut-être de la décennie».

«Piketty a transformé notre discours économique», a-t-il écrit dans une recension de Capital publiée par le New York Review of Books. «Nous ne parlerons jamais plus de richesse et d’inégalités de la même manière», a-t-il ajouté en précisant que le livre de son collègue français offre «une théorie cohérente et unifiée de l’inégalité, une théorie qui intègre sur un même canevas la croissance économique, la distribution du revenu entre le capital et le travail, et la distribution du patrimoine et du revenu entre les individus».

Dans une chronique récente publiée par le New York Times, Krugman a renchéri: «Ce qui change vraiment dans le Capital c’est la façon dont [Piketty] démolit les mythes conservateurs les plus aimés, cette façon d’insister sur le fait que nous vivons dans une méritocratie où une grande richesse est méritée et durement gagnée».

Il est français, économiste et, selon certains de ses critiques, marxiste. Et... - image 2.0

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Les médias américains de droite, cela va de soi, se sont montrés beaucoup moins bienveillants à l’égard de Piketty. Le Wall Street Journal a notamment conseillé à ce «visionnaire utopiste» de relire La Ferme des animaux ou Le Zéro et l’infini, deux critiques du stalinisme, plutôt que de citer Le Père Goriot, un des livres de Balzac dont l’économiste français se sert pour illustrer les méfaits d’une société de rentiers.

Mais certains critiques conservateurs ont laissé percer une certaine inquiétude face au succès du livre de Piketty. Dans l’hebdomadaire National Review, James Pethokoukis, de l’American Entreprise Institute – un groupe de réflexion -, a souligné l’importance de réfuter les thèses de l’économiste français, au risque de les voir «se propager parmi l’intelligentsia et refondre le paysage politique économique sur lequel toutes les batailles politiques seront menées à l’avenir».

En attendant, Thomas Piketty ne semble pas trop s’étonner que son livre reçoive un écho plus important aux États-Unis qu’en France.

«Les inégalités ont beaucoup plus augmenté aux États-Unis qu’en Europe au cours des 30 ou 40 dernières années. De ce point de vue, ce n’est pas étonnant que le problème soit très présent dans le débat américain. Le retour des inégalités inquiète ici», a confié l’économiste au quotidien Le Monde lors de sa tournée américaine.

En fait, quelques jours après la sortie de Capital aux États-Unis, des chercheurs des universités de Princeton et Northwestern ont amplifié cette inquiétude en concluant dans une étude que les États-Unis sont devenus «une oligarchie».

«Le point central qui émerge de nos recherches est que les élites économiques et les groupes organisés représentant les intérêts des milieux d’affaires ont une influence directe sur les politiques du gouvernement tandis que les groupements d’intérêt représentant un grand nombre de personnes et les citoyens ordinaires n’ont aucune influence sur ces politiques», ont écrit les auteurs de cette étude.

Ce constat explique sans doute pourquoi Thomas Piketty qualifie lui-même sa proposition principale – la création d’un impôt mondial sur le capital – d’«utopie utile».

 

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