D’une rive à l’autre, d’un extrême à l’autre
D’une tere à une autre, en lieu ici la terre
Vite, vitesse, dans sa course, craque, crève
la civilisation emportée, son coeur vomira
Je cherche, grandes villes, hélas trop tard
De Sainte Hélène, à la capitale du capital
Les cadavres joncheront, cendre aux yeux
Multitude en liesse et désaroi circule déjà
Tout n’est que réaction, chaîne, traine trainée
De vagues en vagues successives du soleil
Et voilà, la terre s’énerve, les éléments aussi
Eau bouillante, liquide visqueuse, consumme
À l’autre bout, nouvelles terres, tels trésors
Tout un peuple élu se réjouit, ces derniers
Forteresse, château, disparaissent un jeu
Punir qui, quoi les crimes, divers coupable
Ni science, ni prophète, le dernier l’animal
les clones et les robots, un temps est échu
Ce sont les prochains, les chants de la Terre
Vite, craque, crève, vomit, la terre, te chante
Ne laisse rien, ni eux, tout avec eux, le sort
Les traces, signes éffacés, les excès limités
Un départ, tel un recommencement, le cycle
Rendez-vous à plus tard, j’y serai à l’heure, là
Et, ainsi tout danse, dansait comme tout, rien
Au champs, dans les chants la terre rit, rira rit
Du chaud au froid et vent et poussière, l’huile h
Quel spectacle, quelle harmonie c,est la terre, J.
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