La dernière fois que je regardais le soleil, je me suis dit que cet astre a dû voir passer sous ses yeux un nombre indéfini d’êtres vivants qui se sont questionnés sur son mystère et sa véritable nature. De ce nombre infini d’êtres vivants il y a bien sûr des scientifiques, des philosophes, des historiens, des religieux, des artistes de tous genres.
Or les plus curieux et les plus persévérants doivent être les physiciens et les astrophysiciens puisqu’ils ont pour champs d’étude fondamental le mystère de l’univers soit son origine, sa mécanique, son commencement et à la limite par extrapolation sa fin. Personne certes ne peut douter des divers progrès réaliser et enregistrer dans le domaine de l’astrophysique ce depuis les lunettes de Galilée qui avaient permis de mieux comprendre la position de cet astre majestueux et dominant que personne ne peut ignorer sa présence.
Einstein et Hubble ont permis à eux-seuls à la fois de relativiser nos connaissances générales de l’univers tout en nous offrant des perspectives larges et générales qui métamorphosent totalement nos vues et nos visions relatives que continuons d’avoir vis-à-vis de cet univers complexe et simple dans lequel nous existons.
Si pertinemment j’évoque les progrès de la science physique et de l’astrophysique tout en me référant à Galilée et en notant Einstein et Hubble, c’est que ces trois scientifiques constituent pour moi l’engrais avec lequel j’entends faire fructifier une nouvelle méthode et une nouvelle approche pour faire la science.
Cela étant, dans un premier temps, je vais me placer dans la peau de Galilée en lui donnant vie et surtout en le vieillissant afin que je puisse comprendre à partir de ses découvertes qui ont jalonné l’astrophysique en passant par les nouvelles découvertes dans le domaine qu’il aurait assistées et constatées dans une perspective de chercheur à la fois expérimenté et en avance sur son temps. Évidemment, il sera protégé contre la toute puissance de l’église de la rationalité scientifique, eux qui sanctionnent toute approche sortant de la sphère dogmatique et paradigmatique religieux de la science qui pourrait paralyser ses recherches et sa liberté de penser alors qu’il demeurera croyant de la foi chrétienne de la science.
Sur ce point précis, le regard qu’aurait Galilée sur l’astrophysique actuelle serait renversant du point de vue méthodologique autant que le continuum de la méthode scientifique a paralysé les recherches scientifiques et se faisant, ce qui aurait été déjà étudié et compris, puis observé, évalué et développé sont encore du domaine religieux, de l’irrationnel alors que dans les faits ce sont de véritables phénomènes physiques observables, mesurables et expérimentables. C’est le cas des phénomènes physiques et d’optiques bien connus et traités sous les vocables objets volants non identifiés. Je ne rentrerai pas dans les idioties des scientifiques qui les renvoient à l’hallucination et à la superstition. Il en est de même pour les connaissances sur le soleil et la lune ainsi que tous les autres corps célestes qui forment et qui constituent notre galaxie, nos galaxies, toutes les galaxies, notre univers, les univers et tout l’univers.
Pourtant je ne diffère en rien de personne, et ce que je vois comme Galilée ou Hubble ou Einstein c’est la même chose, cependant, mon constat à partir des yeux de Galilée mis en perspective dans le temps et dans l’espace qui deviennent identiques parce que le génie qui est projeté et non la masse disparue comme engrais du scientifique. En effet, la caractéristique primitive de toute invention, de toute découverte est de doter son inventeur, son découvreur d’une avance nettement relative de façon générale.
Ceci dit, j’admets volontiers que vue que Galilée avait été le premier à observer l’espace et pour avoir découvert que c’est la terre qui tournait autour du soleil cela lui aurait permis de comprendre de nos jours que non seulement la majorité de ses découvertes se sont révélées justes mais se basant sur les recherches et les découvertes de tous les autres scientifiques y compris les travaux d’Einstein et de Hubble, qu’il est évident que le soleil est une planète comme toutes les autres qui possèdent les mêmes caractéristiques d’un Miroir telles de réfléchir la lumière et la chaleur. En ce sens, si le soleil était véritablement une boule de feu telle que la dogmatique mécanique du paradigme scientifique le prône depuis toujours, il lui aurait été impossible de jouer le rôle de réflechisseur de rayons lumineux comme nous le constatons tous les jours avec nos miroirs domestiques.
J’imagine difficilement un Galilée qui n’aurait pas découvert cette caractéristique fondamentale du soleil et de certains corps célestes tout comme j’aurais également de la difficulté à concevoir un univers qui obéit à une mécanique d’apesanteur qui ne serait pas harmonieusement structuré. Or, pourtant, à démêler et en faisant le tri des différentes idées générales des différentes connaissances disponibles sur le fonctionnement de l’univers, tout semble confirmer que la mécanique d’apesanteur qui structure l’harmonie de l’univers est héritage du mouvement provenant et produit par des sources de chaleur et de lumière primitive. Ainsi, lorsqu’il y a collusion et collision de lumière il se produit des pertes d’équilibre faisant chuter les corps en apesanteur relatif et général. Mais quant au soleil lui-même il est évident qu’il soit autre chose que ce que nous admettons jusqu’à présent pour vrai et fondamental.
Je suis sûr et certain, qu’en inversant l’approche traditionnelle des méthodes scientifiques qui visent à développer des instruments, des outils, des appareils, des véhicules de recherches pour explorer l’univers bien que nous devons poursuivre le développement de cette approche et, d’un autre côté pour en ajouter une nouvelle approche, méthode, outils, appareils, véhicules, instruments qui auraient pour objectifs, contrairement au modèle actuel qui vise à aller chercher de l’information qui est encore important, de recevoir des informations, des communications des autres êtres dans l’univers, et les cieux, nous aurions su déjà comment fonctionne l’univers dans son ensemble tout comme nous aurions une bonne connaissance de l’univers.
Les astres et tous les corps célestes se parlent entre eux grâce aux lunes, aux soleils et aux différents corps translucides qui existent et qu’ils possèdent. Ce que nous recevons comme image et comme information nous met en contact avec le reste du cosmos et de l’univers mais nous sommes trop scientifiques pour être rationnel et, nous sommes trop irrationnels pour ne pas douter de nos certitudes qui, quoique l’on dise ou que l’on sache tendent à définir nos convictions et nos croyances. En ce sens, nous méritons d’être plus naïfs pour accepter les évidences et plus rationnels pour ne pas rejeter. Nous devons douter davantage de nos méthodes et de nos faits observables que nous reconnaissons comme scientifiques tandis que d’un autre côté, nous devons croire aveuglement ce qui nous fait douter.
Les lunes et les soleils comme des miroirs
L’idée de considérer la lune comme un miroir réfléchissant les images venant des autres planètes et de tout corps existant notre galaxie et de notre univers peut paraître assez simplistes et de très banal pour expliquer un grand nombre de phénomènes inexpliqués par les terriens que nous sommes cependant mes simples observations me permettent pourtant d’envisager l’univers comme un tout ou chaque corps à des rôles définis où les informations s’échangent et se partagent en temps réel. En ce sens, il serait incomplet de considérer la planète terre comme étant isolée du reste de l’univers sans qu’il puisse exister des moyens sûrs et certains de recevoir ou d’envoyer ses informations au reste de sa galaxie ou de son univers.
À mon humble avis, loin d’assurer l’éclairage et l’humidification de la terre, la Lune comme satellite de la terre joue un rôle de communication de premier plan dans la relation que la terre entretien avec le reste de l’univers. En ce sens, la lune retransmet à la terre à la fois information et énergie venant de la profondeur du reste de l’univers. Ainsi, des phénomènes comme les objets volants non identifiés qui ne sont en fait que des projections d’images lumineuses à partir de sources lumineuses diverses de l’univers. Autrement dit, les o.v.n.i. sont en fait de simples projections d’images de corps et d’êtres réels vivant et existant sur d’autres planètes de notre galaxie ou de l’ensemble du cosmos. Mes expériences et mes observations m’ont permis de créer des formes d’o.v.n.i. seulement à partir de la lumière, d’un écran et d’un miroir formant trois points j’arrive à capter l’image de la lumière pour la projeter vers un écran afin de former ce que ressemble parfaitement à une soucoupe volante.
Selon un certain angle qui constitue un point A où je place une ou plusieurs bougies que je capte avec un miroir qui lui est placé en un autre point B, ce miroir projette à son tour l’image de l’objet qu’est la lumière vers un écran qui se trouve être le point C. L’image de la lumière captée et réfléchie par le miroir produit sur l’écran selon un jeu de positionnement entre le miroir et l’écran une vraie soucoupe volante que bien de gens rapportent comme des extraterrestres.
Cette explication des o.v.n.i. découle de mon observation à plusieurs reprises de ce que plusieurs considèrent comme des objets non identifiés mais qui sont en fait de simples projections de luminosité d’objets réels se trouvant ailleurs mais projetés par le relai des lunes et des soleils sur l’écran de notre espace terrestre. Cependant les scientifiques trop renfermés dans leurs paradigmes scientifiques préfèrent remettre la compréhension de ce simple phénomène au domaine de la superstition alors que dans les faits, les o.v.n.i. sont de véritables phénomènes physiques et d’optique observables, reproductibles et explicables.
Ce qui a empêché aux scientifiques d’expliquer ces phénomènes c’est tout simplement leur méthode scientifique, leur approche et plus particulièrement, leur vision complexe d’un univers complexe compte des préjugés qui structurent leur entendement du cosmos. Le modèle des méthodes scientifiques ont été biaisés par les pionnés de la science et l’entendement scientifique a été de ce fait perverti par les biais incrustés dans le modèle scientifique lui-même par conséquent, les scientifiques ont à leur tour perpétué ces biais dans leur approche de considérer les corps célestes et leur modèle de compréhension des liens de communication existant entre les différents corps célestes.
Si nous prenons par exemple Galilée qui est considéré comme le premier astrophysicien a avoir observé les corps célestes, nous pouvons montrer sans difficulté l’origine du biais qui s’est incrusté dans les approches scientifiques de voir et d’observer l’univers et les corps célestes c’est-à-dire, expliquer pour il a été si difficile d’expliquer le phénomène des o.v.n.i. en effet, Galilée a procédé par observer l’univers contrairement à notre approche pour expliquer les o.v.n.i. qui consiste à chercher et à trouver quelle information que les astres, les planètes et tous les corps célestes nous communiquent en temps réel avec le peu d’effort et très peu d’instrument.
Mon approche d’observer et de découvrir les secrets de l’univers ne s’oppose pas à l’approche de Galilée, au contraire elle la complète en vue donner une plus large vue de comprendre les faits astrophysiques plus efficacement puisque la vision en sens unique tend à limiter la recherche scientifique beaucoup plus vers la recherche dans le sens de chercher et rechercher et non vers l’apprendre et la réception d’information et de connaissance. Si l’approche et la limite la méthode de Galilée a permis de découvrir les planètes et faire évoluer dans un certain sens notre compréhension de l’univers, en revanche elle nous a empêchée de comprendre les phénomènes optiques et physiques tels que les o.v.n.i. , il y a donc à cause de cette vision de la recherche scientifique une méconnaissance des astres comme le soleil et la lune.
En fait à ma connaissance il y a très peu d’étude et de recherches publiques et publiées sur la fonction de miroir que joue les lunes et les soleils voilà pourquoi un grand nombre de phénomènes physiques et d’optiques qui échappent à notre compréhension. Pourtant, la loi de l’harmonie des corps célestes nous permet de comprendre comme un tout l’univers avec fondement un échange et des communications en temps réel entre les divers corps formant notre galaxie et de l’ensemble de l’univers. La lune ne peut pas seulement avoir comme seule fonction d’éclairer la terre lorsque celle-ci tourne le dos au soleil, une façon de dire. Non plus il ne serait pas concevable de reconnaitre au soleil la seule caractéristique de chauffer la terre ou de l’illuminer durant le jour car tout cela serait contraire à la loi de l’harmonie de l’univers. Heureusement pourtant tout est harmonie et en harmonie dans l’univers. L’univers est selon nous régit par des lois d’harmonie constante et permanente, de fait il existe une communication réelle et en permanence entre tous les corps constituant nos galaxies, nos cosmos et notre univers. Tout communique et tout se communique.
Le soleil et la lune ont un rôle et une fonction de miroir pour toutes les planètes, pour toutes les galaxies, pour tous les univers et pour tout l’univers en général. De part ce rôle et cette fonction, ils relayent en temps réel les images et les activités qui se passent sur chaque planète et dans le reste de l’univers. En ce sens cette connexion et cette communication se fait comme s’il s’agit d’une émission de télé en direct ou tout est diffusé en temps réel cependant aucun scientifique ne s’est aventuré sur ce terrain pour confirmer cette relation d’inter échange et d’intercommunication qui existe entre les différentes planètes, les galaxies et les cosmos.
L’homme vient du soleil, les corps aussi. Par conséquent, je ne suis pas un primate :
Ici nous allons entrer dans un univers jusques là méconnu et non exploré par l’entendement scientifique actuel depuis toujours. L’inconscient humain est rempli de mythes et la mémoire de l’homme n’est pas assez efficace pour lui permettre de retracer l’origine des mythes afin de pouvoir faire la différence entre ce qui est vrai et réel et ce qui peut se passer pour être des mythes et des mystères dans son entendement. Pourtant la réalité des mythes est plutôt celle de la réalité primitive de l’histoire même de l’homme. Autrement dit, l’homme transforme son histoire en mythe lorsque cette histoire est projetée et rapportée sur plusieurs générations. Les faits et les événements sont oubliés, les histoires sont embellies, les acteurs sont déifiés et l’absence de repères convertit tout alors en ce que nous pouvons appeler mythes, ce sont les mythes. De nos jours et ce de plus en plus, nous nous perdons dans nos histoires jusqu’à nous tenir éloigner de notre histoire par nos mythes.
Les paléontologues découvrent les restes et essayent de dater et de retracer l’origine de l’homme sur terre. Des recherches se contredisent et des découvertes se remettent en question comme quoi, nous ne pouvons retracer avec certitude l’origine des hommes. Malheureusement, les préjugés qui caractérisent la nature de l’homme et les scientifiques qui font ces recherches et ces découvertes s’intègrent de façon éhontée et malhonnête dans les récits des recherches et des découvertes qui se font sur l’origine de l’homme.
Les travaux de Charles Darwin sur l’évolution des espèces sont infestés de mensonges et de préjugés qui caractérisent la valeur et la portée soi-disant scientifique de la recherche scientifique qui a permis à l’anglais de formuler ses théories sur l’évolution des espèces. Il est vrai que l’auteur de la théorie de l’évolution a été l’homme de son temps en ce sens qu’il vivait à une époque ou certains hommes se croyaient supérieurs aux autres par leur seul développement scientifique et du développement des moyens d’une certaine communication, cependant cela n’était pas suffisant pour considérer voir envisager qu’il puisse exister une certaine supériorité d’une race humaine sur une autre. Pourtant telle fut la conception de l’homme par rapport à l’homme son lui-même. Égal mais différent.
Parmi les mythes les plus célèbres qui évoquent et qui ont un rapport avec l’histoire et l’origine de l’homme, il y a le mythe de l’enfer et celui du paradis. Ces deux mythes renferment en eux une grande part de la vérité sur l’origine des espèces, sur l’origine des planètes et plus particulièrement du lieu commun d’origine de l’homme, des espèces, des planètes et de tous les corps qui gravitent dans l’univers. Pour remonter à l’origine de ces deux mythes, il faut comprendre et reconnaître que vu le positionnement des planètes dans le système solaire où le soleil exerce une véritable force d’attraction et de répulsion sur tous les corps qui se trouvent dans son orbite. De même, il faut tout aussi admettre que sans des liens primitifs entre le soleil les corps célestes, il ne pouvait pas y avoir ce lien si étroit. C’est cette même relation de liaison qui existe entre les planètes leurs lunes à la seule différence que la matière lunaire est plutôt une matière solaire qui n’a pas été brûlée ou consumée lors de l’embrasement de la matière solaire. D’ailleurs, à juste titre, au plus profond de la terre soit principalement dans les fonds marins on peut encore trouver certaine trace de la matière solaire qui est également la même matière qui se trouve actuellement sur notre lune et sur toutes les lunes.

Mes observations actuelles de la surface du soleil, de notre soleil, me permettent de constater et de confirmer plusieurs foyers d’incendie et d’explosions très actives à la surface du soleil. Cela signifie pour moi que contrairement aux données dites scientifiques sur l’état de la surface du soleil qui est partiellement chaude bien que dans les faits c’est surtout l’atmosphère du soleil lui-même qui est extrêmement chaude et non sa surface en générale. Autrement dit, puisque le soleil agit et est par conséquent un miroir qui relaye et qui réfléchit d’autres lumières et d’autres chaleurs qui proviennent de sources diverses et autres que celle qu’il produit généralement à partir des foyers de sa surface, son atmosphère et donc plus chaude que la surface même du soleil. Les rayons qui nous arrivent du soleil confirment l’état et la caractéristique mirifique de ce soleil. Ainsi si le soleil avait une surface extrêmement chaude, il lui aurait été difficile de projeter des rayons tels que nous en recevons actuellement tous les jours. Pour que nous ayons des rayons solaires, il faut hors de tout doute que le soleil soit un miroir et de plus pour que ce même soleil ait véritablement une surface chaude à la manière d’un feu de camps ou encore un feu comparable à celui d’une flamme venant d’un charbon de bois, il devait y avoir une côté magique de ce soleil car ces deux situations s’opposent l’une à l’autre.
Considérons maintenant les faits pour mieux comprendre la contradiction qui existe entre les deux hypothèses soit, la capacité du soleil à projeter des rayons et celle où le soleil produit des tempêtes c’est-à-dire des vagues de chaleurs comme c’est le cas actuellement. Pourtant le soleil produit actuellement des tempêtes de chaleur qui proviennent directement de sa surface non parce qu’il y a un vent qui balaye sa surface mais principalement parce qu’il y a tout simplement de fortes explosions qui proviennent des différents foyers qui s’embrasent en plusieurs points de sa surface. De fait, lorsqu’il y a des explosions dans une ou plusieurs régions sur le soleil, cette région ou ces régions ne peuvent pas émettre des rayons. Toutefois compte tenu de la distance qui séparent entre le début de la tempête et l’arrivée de l’impact de cette même tempête, nous pouvons constater que les rayons continuent de se réfléchir vers la terre. Néanmoins en observant une tempête solaire à la surface du soleil, on peut constater qu’à l’endroit ou plutôt, du point que l’on observe cette tempête, qu’il n’y a aucun point de départ de rayon solaire car une surface en flamme perd toutes ses caractéristiques et ses propriétés mirifiques par le faite que la matière à caractère et à propriété mirifique s’est consumée.
Sur la terre on peut faire, reproduire et comprendre le phénomène des tempêtes solaires en observant ou en allumant un feu de bois. En effet, en observant les bois brûler, on peut constater qu’il se produit des vagues de tempête de feu à chaque fois qu’on ajoute du bois ou encore à chaque que le feu atteint des parties des bois non consumés. On dirait donc alimente l’embrasement et ce faisant, en y ajoutant du bois vert, non encore brûlé, on réactive le feu. C’est en effet le même phénomène qui se produit à la surface du soleil.
Quant aux rayons qui proviennent du soleil, eux ils se produisent sur des surfaces non enflammés, c’est-à-dire sur la matière solaire primitive que je veux nommer le planétariat cette même matière que nous retrouvons à la surface de la lune et également cette même matière qui est capable de produire la terre après consumation. Le planétariat c’est la matière à l’origine de tout elle est capable de désintégrer tout ce qui provient de lui selon certaine condition et dans des contextes appropriés et différents.
À l’état naturel, le planétariat est un corps ou du moins une matière qui possède la propriété luminescence capable d’éclairer en s’appropriant de toute forme de lumière on peut produire de l’éclairage naturel pour éclairer toute la terre à titre d’exemple si l’on prend le planétariat qui se trouve sur le soleil et sur la lune on peut produire des surfaces-objets pour éclairer des villes entières cependant le seul handicap serait de placer des objets à des endroits pour protéger les humains de leur contacts puisqu’ils pourraient désintégrer des êtres et des objets.
Revenons à présent à l’origine de la matière et des espèces. En effet, selon moi, toutes les espèces, tous les gaz, tout ce qui existe dans notre environnement proviennent du planétariat qui constitue le soleil. C’est parce que le planétariat a brûlé préalablement sur le soleil qu’il a donné naissance à des planètes, à des matières minérales, à des gaz, à l’eau, à l’air, aux espèces etc. autrement dit tout découle et vient par ce fait de la matière primaire qu’est le planétariat. De plus, et le plus évident encore c’est que le big bang qui a produit les planètes et la nôtre également s’était produit directement sur le soleil et non après que la terre soit détachée du noyau planétarial primitif et primaire. Si à l’origine le premier soleil était uniforme tout comme bien sûr tous les morceaux de soleil qui se cassent du soleil primitif, notre soleil actuel qui est un petit soleil parmi tant d’autres qui existent dans l’univers et dans des régions universels avait à son origine une surface nette sans rien d’autre que peut-être sauf quelques cratères par-ci et par-là comme c’est le cas de la surface de la lune puisque selon mes observations actuelles, selon ma compréhension, les points noirs et observables qui se trouvent à la surface du soleil, ce sont de véritables trous béants où il y a de véritables feux dévorants qui brûlent sans cesse. Les points noirs qui existent actuellement sur le soleil ce sont de véritables soupes où le planétariat brûle pour se transformer en matières, en minéraux, en eaux, en gaz, en matières organiques de toutes les sortes, et en particulier en êtres humains.
Il est faut de croire que l’homme soit apparu après que le soleil soit éclaté en plusieurs morceaux après que le planétariat ait été consumé car certains éléments qui constituent la vie ne seraient plus présents ni non plus disponible à la venue de la vie.
Loin également de considérer une descendance de l’homme à partir d’un quelconque primate ancestral qui serait figé pour l’éternité dans ses conditions évolutives. L’homme ne peut pas être un dérivé de primate par contre il peut être un primate comme tous les autres. Je m’explique.
Selon moi, il n’y a pas d’espèce issu d’une autre espèce et de ce fait, chaque espèce est unique, différente des autres espèces et égales entre elles. Il n’y a donc aucun lien ancestral entre une espèce et telle autre par contre, l’homme se diffère de l’animal par sa chance d’avoir un système cognitif pensant ainsi qu’une conscience. Néanmoins cette faculté est un pur hasard de la nature et non une caractéristique propre de l’homme. Il existe dans l’univers des animaux qui ont cette faculté de penser et qui se trouvent à être supérieurs à des hommes qui jouent le rôle comparables aux animaux sur la terre. Un jour viendra où nos explorations spatiales nous permettent de confirmer cette affirmation.
En attendant nous devons nous contenter d’affirmer seulement cette hypothèse comme bien sûr l’ensemble des hypothèses de cet essai présentement qui peut paraître inédit et absurde pour la littérature scientifique. Évidemment, je ne me préoccupe pas vraiment des différentes écoles scientifiques qui vont sanctionner mon essai de compréhension de l’origine partielle du monde et de l’univers, je crois tout simplement que je dis vrai et les écoles scientifiques sont trop bornées pour s’ouvrir à ma vérité. Toutefois, le jour viendra où des scientifiques découvrons cette vérité que le seul et unique Grand maître me permet d’entrevoir et de découvrir à partir de mon imagination. L’évolution des espèces n’existe pas c’est un gros mensonge et, la création des espèces est une autre fourberie. L’un anime et ravive l’autre en ce sens qu’on ne peut nullement les démontrer et du coup ce sont deux visions qui font la promotion du mépris de l’homme par des convictions et des croyances racistes et xénophobes avec en haut de la société humaine un peuple qui serait élu que sont les juifs et les blancs. Voilà la seule vérité qu’expriment le créationnisme et l’évolutionnisme.
Hermann Cebert
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