
La souveraineté du Québec: Une histoire de trahison, mensonge, opportunisme
Trahison, mensonge, opportunisme devraient être les premiers mots à utiliser pour parler de la souveraineté du Québec et également pour bien comprendre la situation dramatique du Parti Québécois. En effet, si on considère la popularité de certains députés (dissidents) du PQ dans la presse traditionnelle, on peut constater qu’aucun d’entre eux n’apportent d’idées nouvelles ou de stratégies différentes de réalisation de cette souveraineté du Québec.
À les entre parler, tout ce qu’ils disent ou veulent dire c’est qu’ils contestent le leadership de Madame Pauline Marois, la cheffe actuelle du PQ. Qu’il s’agisse de François Legault ancien affairiste et épicier et de toute la dernière cohorte des soi-disant dissidents, le discours de chacun de ces derniers traduit une certaine aigreur de ces derniers au lieu d’un véritable et farouche sentiment de faire l’indépendance du Québec.
On sait très bien que les québécois sont désensibilisés, désengagés et démobilisés puisque personne et aucun de ceux qui se partagent les héritages de René Lévesque se préoccupent de ce véritable handicape de l’avancement de la marche vers souffrent un chef de parti ne peut mobiliser, quoique difficile, que sa famille. Or avec un pouvoir libéral aussi long qu’il pourra l’être encore, cet état continuera de ruiner le PQ et le projet de Pays. Alors cela explique clairement l’état de déconfiture de ce Parti et le mensonge de la Souveraineté que le PQ portait comme projet depuis Lévesque.
Personne ne peut amener une preuve tangible et hors de tout doute des véritables intentions de Lévesque de créer un Québec indépendant. Il y avait des doutes et des hésitations dans ses actes et dans ses gestes. On dirait que le véritable rêve de Lévesque était de se trouver un emploi à Ottawa après son mandat de Premier ministre du Québec tout comme d’autres avant lui et après lui qui se sont trouvés des emplois bien rémunérés dans des firmes d’avocats ou comme lobbyistes pour des entreprises privées.
En quoi le projet de Souveraineté est-il un Gros mensonge? En effet, déjà avec René les intentions pour une réelle indépendance n’étaient pas là car il n’y avait aucune formulation claire et nette de transformer la Province du Québec en Pays Indépendant Combien d’anciens ministres et hauts dirigeants du PQ qui, après de belles carrières politiques et de militance de la cause souverainiste sont et avaient été au service des intérêts anti souverainistes. Sans établir une liste qui n’est même pas utile, tout le monde connait cette vérité. Combien d’anciens dirigeants du PQ sont demeurés convaincus souverainistes et socio-démocrates actuellement, pourtant on sait et connait leurs grandes gueules quand vient le temps de critiquer les chefs actuels de ce parti. Certains sont même devenus véritables chefs du parti après l’avoir quitté sauf un seul qui reste encore silencieux. À cause de la trainée ou plus encore des différentes trainées d’ombres des anciens dirigeants du PQ, les Parti Québécois et compagnie retardent encore et toujours le projet de la souveraineté du Québec.
La culture affairiste de certains dirigeants du PQ témoigne de l’ensemble des hésitations du parti en ce qui concerne le Noble projet de Souveraineté. Personne au PQ n’est fondamentalement souverainiste. De l’extérieur on sent l’odeur de l’opportunisme et de réalisation personnelle des dirigeants et plus particulièrement on sent surtout une grande trahison de l’ensemble de la camaraderie souverainiste à l’égard de la confiance du peuple du Québec.
La vielle garde du PQ doit être remplacée dans son intégralité et les jeunes qui ont acquis de l’expérience d’organisation et de gestion de la chose politique doit faire son entrée en scène et prendre par ce fait la direction à la fois du Parti et du Grand projet de Souveraineté. Ils ne doivent pas continuer de répéter les mêmes gestes et les mêmes actions bien huilés que connaissent très bien les vieux de la vielle époque. Pour bien comprendre la pensée désuète de la vielle génération du PQ, il faut se souvenir que cela fait déjà plus de quarante ans que cet parti est dirigé par les membres fondateurs comme si les jeunes n’existaient pas ou plus au sein de ce parti, ne me parlez pas de la structure démocratique du parti car je l’ai en arrière pensée aussi mais ce que je veux voir et entendre c’est que une nouvelle génération émerge des profondeur du PQ en prenant la tête du Parti et en tablettant la vielle camaraderie déjà trop ancienne pour regarder le véritable Avenir du Québec
indépendant.
Si les jeunes qui siègent sur le PQ dans les comités de comté ne prennent pas la relève du parti maintenant, Je ne me souviendrai même pas d’eux d’ici après les prochaines élections. Quant à ceux qui se proposent comme alternatifs à Madame Marois l’image qu’ils semblent nous envoyer c’est qu’ils ne sont que des opportunistes. L’actuelle cheffe du PQ ne peut non plus rien offrir en termes de propositions nouvelles ni non plus une victoire souverainiste, Voilà pourquoi, j’invite les jeunes péquistes à prendre le parti en main.
Il est vrai que le PQ a toujours eu en son sein des traites qui se faisaient passer pour des militants convaincus et convaincants, mais de nos jours, ne devrait-on pas se questionner sur les véritables raisons des différentes dissidences au sein de cet parti. Aucun analyse ou journaliste n’a effleuré cette troisième analyse et touts commentateurs confondus voient Legault et compagnie comme soit des dissidents soit aussi comme étant des alternatifs à la Marquise du PQ, cependant et si le véritable projet derrière toute cette vague de démission au sein du Caucus du PQ ne visaient pas simplement le remplacement de Madame Marois mais surtout et principalement le démantèlement pur et simple du PQ et de tout Parti Souverainiste. Alors, si telle était la raison qui charpenterait les différentes raisons des dernières dissidences ne serions-nous pas en opinions réfléchies et convaincantes que le PQ a toujours été un parti au sein duquel où la dissidence a été préalablement orchestrée et par conséquent ce que nous assistons actuellement n’est qu’une tragédie planifiée.
Je ne veux pas conclure mais je laisse à chacun de se formuler une réflexion afin de mieux comprendre cette dernière pendaison ou assassinat de la cause souverainiste. Je veux juste penser et je veux juste dire, mais à vous de décider et d’agir car s’il y a déjà eu des traitres et des trahisons au cœur du Parti Québécois, peut-être que le réseau n’avait jamais été démantelé et par conséquent les petits sont devenus grands et même que les petits ont maintenant eux aussi des petits.
Bonne lecture, revenez et lisez d’autres articles.
Hermann Cebert